Avec ces batteries de senseurs, de capteurs et de mesures en temps réel, les assurances maladie jubilent. L’appropriation publique à grande échelle des données intimes de santé est sans doute, disons avec le revenge porn, la chose la plus obscène qu’on ait pu imaginer dans le viol de la vie privée. Il n’y a rien au-dessus. Et il n’y a rien de plus dangereux non plus dans la manipulation future des citoyennes. Pisser connectée, comment dire ? C’est donner ton caca au  Big Data pour préarer la Big Cata. La tienne et la nôtre. La biopolitique pour les nulles. Covid soit qui mal y pense.