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Accessoirement, cela remet à sa place le délire actuel sur le « risque existentiel » que les intelligences artificielles feraient courir à l’humanité. Ce ne sont pas les machines numériques, mais bien les organisations – à commencer par les entreprises – qui ont pris leur autonomie et qui semblent poursuivre leurs objectifs de croissance et de profit sans se préoccuper de ce qu’elles détruisent.
Le numérique – sous sa forme actuelle – est leur outil, pas l’inverse.

Extrait de l’entretien dans « Après la Tech »