
Fiction
Ceci est le 7ème épisode de la première saison du Deftech Podcast. Il s’agit d’un

Défendre notre intégrité cognitive
Ceci est l’épisode 6 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast.

Remparts légaux
Ceci est l’épisode 5 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast.

Guerre cognitive
Ceci est l’épisode 4 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast.

Les machines qui lisent nos pensées
Ceci est l’épisode 3 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast.

La fracturation de l’attention
Ceci est l’épisode 2 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast.

Robotariat
Le robotariat désigne l’ensemble des humanoïdes autonomes affectés aux fonctions de service, de soin, ou d’assistance aux personnes. Robots

Synthonésie
La synthonésie désigne une connaissance produite à la demande par une intelligence artificielle. Le savoir n’est plus un document

Datagogie
La datagogie consiste à s’appuyer sur l’analyse de données numériques pour personnaliser, optimiser et piloter les apprentissages.

Q168 | Pourquoi une science-fiction institutionnelle militaire ?
Les histoires de science-fiction ont en commun l’insertion de technologies imaginaires, ou d’un élément scientifique spéculatif au sein de l’intrigue. Cette caractéristique fait de ces

Q288 | Game Design Fiction : utiliser le jeu pour (co-) construire des futurs
La médiation par le jeu peut-elle rendre l’anticipation et l’exploration des futurs accessibles au plus grand nombre ? C’est l’ambition des jeux de cartes spéculatives,

Q060 | A quoi sert le design fiction ?
Quoi de plus pertinent que des experts en design fiction pour nous parler de ce sujet! Le Coup d’Après est un collectif de design fiction

Q227 | Du signal à l’action : les phases d’une activité d’anticipation efficace
Il est important de rappeler ici la distinction présentée en préambule entre l’anticipation comme activité et l’anticipation comme projet. Pour cette étude et notamment pour

Q143 | Où placer un dispositif de prospective à l’intérieur d’une organisation ?
Une possibilité évidente est de placer le dispositif au coeur de l’organisation, là où naissent les produits, là où se construit l’innovation, c’est à dire

#37 Igor Vamos | Détourner le réel pour fabriquer du souhaitable
Igor Vamos est Professeur associé au Rensselaer Polytechnic Institute dans l’État de New York, aux États-Unis. Ses préoccupations critiques s’énoncent sous forme d’interventions artistiques dans

#21 Jacques-François Marchandise | Renouer avec l’éducation populaire
Jacques-François Marchandise a cofondé puis dirigé la Fing, la Fondation Internet nouvelle génération, une association qui questionne les potentiels et les enjeux de la société

#8 Laurent Testot | Penser le temps long
Laurent Testot est journaliste scientifique, conférencier et essayiste. En France, il est l’un des rares spécialistes de l’approche historique globale, et plus spécialement de l’interaction

#42 Nathanaël Wallenhorst | Eduquer en Anthropocène
Nathanaël Wallenhorst est professeur à la faculté d’éducation de l’Université catholique de l’Ouest. Menant sa propre enquête en Anthropocène, Il a écrit et dirigé une

Déconastrose
La déconastrose vient du fait que nous déléguons la gestion d’objets à des serveurs distants. Quand la connexion se rompt, on constate qu’on a perdu

Thanadeep
Le thanadeep est un message posthume créé par une IA à partir des traces numériques d’une personne décédée. C’est un texte, un audio qui recrée

Robotariat
Le robotariat désigne l’ensemble des humanoïdes autonomes affectés aux fonctions de service, de soin, ou d’assistance aux personnes. Robots domestiques, assistants mécaniques, drones de livraison,

Pharmakonage
Le terme pharmakon (φάρμακον) est un mot grec qui désigne à la fois le remède et le poison. Le pharmakon a été développée par le
Dans toute comparaison, il y a une dévalorisation.
Comment la conscience peut-elle forger son propre discours, libre et critique, quand elle n’a plus d’autres repères qu’elle-même ?
Aujourd’hui les scientifiques ont substitué les mathématiques aux expériences, alors ils errent d’équation en équation, créant éventuellement une structure qui n’a aucun lien avec la réalité.
Il ne faut rien prématurer, pas même le progrès. La science ne doit pas devancer les mœurs. Ce sont des évolutions, non des révolutions qu’il convient de faire. En un mot, il faut n’arriver qu’à son heure. J’arriverais trop tôt aujourd’hui pour avoir raison des intérêts contradictoires et divisés.
- Mais qui a allumé le feu ? demanda Pencroff.
- Le soleil ! La réponse de Gédéon Spilett était exacte. C’était le soleil qui avait fourni cette chaleur dont s’émerveillait Pencroff.
Le marin ne voulait pas en croire ses yeux, et il était tellement ébahi, qu’il ne pensait pas à interroger l’ingénieur. - Vous aviez donc une lentille, monsieur ? demanda Harbert à Cyrus Smith.
- Non, mon enfant, répondit celui-ci, mais j’en ai fait une. Et il montra l’appareil qui lui avait servi de lentille. C’étaient tout simplement les deux verres qu’il avait enlevés à la montre du reporter et à la sienne.

Q305 | Comment habiter le futur à l’heure des temporalités plurielles ?
L’Europe planifie, le Vietnam s’adapte. Deux régimes du temps, deux manières d’inventer le futur. Entre mémoire et mouvement, le Vietnam incarne une innovation singulière :

Q304 | Jouer le futur nous aide-t-il à mieux anticiper le futur ?
Imaginons que nous passions de nombreuses heures dans les jeux vidéo et que nous apprécions particulièrement les univers futuristes tels que ceux déployés par Cyberpunk

Robotariat
Le robotariat désigne l’ensemble des humanoïdes autonomes affectés aux fonctions de service, de soin, ou d’assistance aux personnes. Robots domestiques, assistants mécaniques, drones de livraison,

Synthonésie
La synthonésie désigne une connaissance produite à la demande par une intelligence artificielle. Le savoir n’est plus un document que l’on stocke et consulte. Il
Tout le malheur des hommes vient de leur propension à décoller du réel, à l’installer en imagination ailleurs que là où ils sont, en somme de leur incapacité congénitale à épouser le contour mouvant des circonstances.
C’est la conscience de l’estime qu’on nous porte qui nous pousse en avant. Le refus de décevoir cette estime nous permet de conserver notre dignité. De nous y efforcer du moins.
Personne, par même les artistes, ne comprend l’art. Son rapport à la vitesse. Le travail que cela exige, année après année, pour maîtriser le savoir-faire, la confiance dans le processus, un travail sans doute plus intense que celui investi par un athlète préparant les Jeux olympiques car il ne s’arrête jamais, pas même dans les rêves, et ensuite, quand le savoir-faire et la confiance sont acquis, ce qu’on fait de mieux est ce qui demande le moins d’effort.
En général. Les choses viennent vite, sans qu’on y pense, comme un cheval qui vous renverse la nuit. Mais. Même si les gens comprennent ça, ils ne comprennent pas que parfois, les choses ne se passent pas ainsi. Parce que le processus a toujours été le suivant : des années d’artisanat ; puis la foi ; puis le lâcher-prise.
Mais alors, ce qu’on fait de mieux peut être le fruit d’un véritable calvaire. Des fragments mis bout à bout, déchirés, repris. tout ce que l’on a appris, remis en questions, la terrible crise de la foi, la foi qui permet à tout cela de fonctionner.
Mon Dieu. Après quoi, malgré tout, si l’on survit à l’avancée laborieuse et à la fièvre, il arrive qu’on produise sa meilleure oeuvre.
C’est cela qu’aucun de nous ne comprend.
Le progrès technique a beau être aléatoire, inégalement distribué (selon les latitudes), irrégulier (bifurcations soudaines ou arrêts prolongés), et parfois effrayant (Hiroshima et Tchernobyl), il n’en reste pas moins que la dynamique évolutive du monde technique est une réalité. en prendre acte n’implique aucun parti pris « évolutionniste » (qui fait de tout stade de développement postérieur un stade supérieur au précédent) ; ni d’ailleurs, anti-évolutionniste (soit la même mythologie inversée), pour lequel l’antérieur est ipso facto supérieur – la « course au progrès » se traduisant ici par « course à la catastrophe », écologique, spirituelle, ou les deux. La croissance de nos capacités machiniques est mesurable, en termes de rendement, volume, longévité, vitesse, etc. Autre chose est l’évaluation qualitative de ces gains quantitatifs.
On peut fort bien préférer, pour soi-même, la marche à pied au vol en Concorde, si on se fait une autre idée du temps, de la nature et de la liberté que les hommes d’affaires pressés. Mais c’est là une autre question, éthique (pourquoi faire, ces progrès ?), qui ne saurait empiéter sur la première, physique (comment ça marche, ces avancées ?). La meilleure réponse au positivisme (l’escamotage du sens au nom des faits) ne nous semble pas être l’exorcisme (la disqualification des faits au nom du sens).

