Citations
s'inspirer pour mieux imaginer
Je pense qu’il y a un marché mondial pour quelque chose comme cinq ordinateurs.
La réalisation d’une machine volante plus lourde que l’air est impossible.
Il n’y a aucune raison pour qu’un individu ait un ordinateur à la maison.
Se réunir est un début,
rester ensemble est un progrès,
travailler ensemble est la réussite.
L’homme échappe à la chronologie par ses oeuvres, il y replonge par ses machines.
L’enjeu est non pas de chercher la vérité, mais de chercher une représentation efficace de la réalité pour l’individu comme pour l’organisation; efficace au sens de ce qui permet d’agir.
L’être humain sait que son existence physique est inséparable de son environnement naturel. Il lui reste à prendre conscience que son existence psychique est inséparable de son environnement d’objets, autrement dit son technosystème.
Le plus grand danger, dans les moments de turbulence, n’est pas la turbulence; c’est d’agir avec la logique d’hier.
La stérilité menace tout travail qui ne cesse pas de proclamer sa volonté de méthode.
Il est presque toujours plus facile de se plonger dans quelque chose plutôt que d’en sortir.
La bêtise, c’est de la paresse. La bêtise c’est un type qui vit, et il se dit : ça me suffit. Ça me suffit. Je vis, je vais bien, ça me suffit. Et il se botte pas le cul tous les matins en disant : c’est pas assez, tu ne sais pas assez de choses, tu ne vois pas assez de choses, tu ne fais pas assez de choses. C’est de la paresse je crois la bêtise. Une espèce de graisse autour du coeur qui arrive ; une graisse autour du cerveau. Je crois que c’est ça.
N’investissez jamais dans une technologie si vous ne l’avez pas vue au préalable dans un jeu vidéo.
Sous ce masque, il y a plus que de la chair. Sous ce masque, il y a une idée… Et les idées sont à l’épreuve des balles.
La difficulté n’est pas de comprendre les idées nouvelles, mais d’échapper aux idées anciennes
La réalité du champ de bataille, c’est qu’on n’y étudie pas. On faut simplement ce qu’on peut pour appliquer ce qu’on sait. Dès lors, pour y pouvoir un peu, il faut savoir beaucoup et bien.
Aucune querelle n’est aussi violente que celle entre ceux qui ont accepté une idée hier et ceux qui accepteront la même demain.