Inspirez-vous de 434 citations pour imaginer, anticiper et agir dès aujourd’hui !
L’objectif de la diplomatie est de se contenter du moindre mal plutôt que viser au bien absolu. […] Oui, la politique étrangère, c’est parfois accepter le détestable pour éviter l’insupportable.
Si j’avais une heure pour résoudre un problème, je passerais cinquante-cinq minutes à définir le problème et seulement cinq minutes à trouver la solution.
Ce n’est pas parce que tout est différent que quoi que ce soit change.
La Révolution a eu lieu avant que la guerre ne commence; elle était dans les coeurs et les esprits du peuple […]. Ce changement radical dans les principes, opinions, sentiments et affections du peuple constituait la véritable Révolution.
Il n’est aucune grande invention, du feu au moyen de voler, qui n’ait été reçue comme une insulte à quelque dieu.
Ce que nous appelons réalité n’est que l’intersection de nos mondes respectifs.
Notre pensée est modelée sur le continu, mais c’est le discontinu qui importe réellement, le contingent, l’événement inédit; c’est là que se jouent les fortunes des hommes et des entreprises.
Il ne faut pas penser le monde, mais se penser au monde. Pour ce faire, il est nécessaire de se méfier des pièges de l’expertise et de l’objectivité. Il faut, au contraire, développer son attention aux modèles mentaux et jouer avec eux.
Sans ligne de conduite stratégique juste, il ne peut y avoir d’art opératif efficace, faute de buts pertinents assignés aux opérations.
Il faut porter encore en soi un chaos pour pouvoir mettre au monde une étoile dansante.
Aucune querelle n’est aussi violente que celle entre ceux qui ont accepté une idée hier et ceux qui accepteront la même demain.
Une futurologie sans généalogie n’est qu’une vaguelette au bassin des enfants.
Pour communiquer, il suffit d’intéresser. Pour bien transmettre, il faut transformer, sinon convertir.
Si j’avais demandé aux gens ce qu’ils voulaient, ils m’auraient répondu des chevaux plus rapides.
Plus nous avons d’informations sur le monde, plus nous avons tendance à nous éloigner de ce qui se passe dans le monde et moins nous sommes en mesure de comprendre sa complexité.
Toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement.
On ne peut correctement anticiper l’action d’un adversaire qu’on ne comprend pas.
Quand le champ des possibles d’ouvre à grande vitesse, l’on ne peut calculer à l’avance tous les coups possibles.
Quand le champ des possibles d’ouvre à grande vitesse, l’on ne peut calculer à l’avance tous les coups possibles.
Le problème n’est pas que l’homme soit mortel, mais qu’il soit mortel à l’improviste.
Le problème n’est pas que l’homme soit mortel, mais qu’il soit mortel à l’improviste.
Que vous adhériez au principe de la violence ou de la non-violence, vous devrez quoi qu’il en soit traverser le feu du sacrifice et de la discipline.
Que vous adhériez au principe de la violence ou de la non-violence, vous devrez quoi qu’il en soit traverser le feu du sacrifice et de la discipline.
Toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement.
Toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement.
Il est urgent de voir le monde comme un réseau de processus interdépendants dont nous sommes partie intégrante, et que tous nos choix et nos actions ont des conséquences sur le monde qui nous entoure.
Il est urgent de voir le monde comme un réseau de processus interdépendants dont nous sommes partie intégrante, et que tous nos choix et nos actions ont des conséquences sur le monde qui nous entoure.
Ce que nous appelons réalité n’est que l’intersection de nos mondes respectifs.
Ce que nous appelons réalité n’est que l’intersection de nos mondes respectifs.
Le travail guérit de tout.
Le travail guérit de tout.
Premièrement : la survie est la nécessité première de toute civilisation ; deuxièmement : une civilisation ne cesse de croître et de s’étendre, tandis que la quantité totale de matière dans l’Univers reste constante.
Premièrement : la survie est la nécessité première de toute civilisation ; deuxièmement : une civilisation ne cesse de croître et de s’étendre, tandis que la quantité totale de matière dans l’Univers reste constante.
Die Zeiten werden nicht besser, wir müssen besser werden.
Die Zeiten werden nicht besser, wir müssen besser werden.
C’est à force de répandre le bon grain qu’une semence finit par tomber dans un sillon fertile.
C’est à force de répandre le bon grain qu’une semence finit par tomber dans un sillon fertile.
Aucune opération ne peut se planifier avec certitude au-delà de la première confrontation avec le gros des forces de l’ennemi.
Aucune opération ne peut se planifier avec certitude au-delà de la première confrontation avec le gros des forces de l’ennemi.
On greffe de tout aujourd’hui : des reins, des bras, un coeur, sauf des couilles, par manque de donneurs.
On greffe de tout aujourd’hui : des reins, des bras, un coeur, sauf des couilles, par manque de donneurs.
Il s’agit de trouver un équilibre entre le virtuel et le réel, entre l’acquisition de connaissances et le développement personnel. Pour connaître le monde, il faut se connaître soi-même. Et parfois, cela signifie de se déconnecter pour se reconnecter à soi-même.
Il s’agit de trouver un équilibre entre le virtuel et le réel, entre l’acquisition de connaissances et le développement personnel. Pour connaître le monde, il faut se connaître soi-même. Et parfois, cela signifie de se déconnecter pour se reconnecter à soi-même.
Rien n’est plus dangereux qu’une idée quand on n’en a qu’une.
Rien n’est plus dangereux qu’une idée quand on n’en a qu’une.
Tout ce qui est impossible reste à accomplir.
Tout ce qui est impossible reste à accomplir.
Le médiologue entend «désidéologiser» les idéologies pour comprendre leur action, c’est-à-dire passer de l’histoire des idées à celle de leurs relais et supports.
Le médiologue entend «désidéologiser» les idéologies pour comprendre leur action, c’est-à-dire passer de l’histoire des idées à celle de leurs relais et supports.
Un être humain devrait savoir changer une couche-culotte, planifier une invasion, égorger un cochon, manœuvrer un navire, concevoir un bâtiment, écrire un sonnet, faire un bilan comptable, monter un mur, réduire une fracture, soutenir un mourant, prendre des ordres, donner des ordres, coopérer, agir seul, résoudre des équations, analyser un nouveau problème, répandre de l’engrais, programmer un ordinateur, cuisiner un bon repas, se battre efficacement, et mourir bravement.
La spécialisation, c’est bon pour les insectes.
Un être humain devrait savoir changer une couche-culotte, planifier une invasion, égorger un cochon, manœuvrer un navire, concevoir un bâtiment, écrire un sonnet, faire un bilan comptable, monter un mur, réduire une fracture, soutenir un mourant, prendre des ordres, donner des ordres, coopérer, agir seul, résoudre des équations, analyser un nouveau problème, répandre de l’engrais, programmer un ordinateur, cuisiner un bon repas, se battre efficacement, et mourir bravement.
La spécialisation, c’est bon pour les insectes.
Si j’avais demandé aux gens ce qu’ils voulaient, ils m’auraient répondu des chevaux plus rapides.
Si j’avais demandé aux gens ce qu’ils voulaient, ils m’auraient répondu des chevaux plus rapides.
Il y a des décennies où rien ne se passe; et il y a des semaines où des décennies se produisent.
Il y a des décennies où rien ne se passe; et il y a des semaines où des décennies se produisent.
La plupart du temps les prévisions sont plutôt bonnes et c’est ce qui les rend dangereuses.
La plupart du temps les prévisions sont plutôt bonnes et c’est ce qui les rend dangereuses.
Un plan doit être flexible […]. En accomplissant un plan, nous devons être prêts à nous saisir de toutes les opportunités favorables qui se présentent à nous aussi bien que des erreurs que l’ennemi peut commettre à tout moment. […] Il n’y a pas de place dans l’art opératif pour des décisions rigides.
Un plan doit être flexible […]. En accomplissant un plan, nous devons être prêts à nous saisir de toutes les opportunités favorables qui se présentent à nous aussi bien que des erreurs que l’ennemi peut commettre à tout moment. […] Il n’y a pas de place dans l’art opératif pour des décisions rigides.