
Q286 | Mobiliser les imaginaires dans un scénario de design fiction
Nous avons mené pour l’Agence Régionale Énergie Climat d’Île-de-France (AREC) une étude entre sociologie et spéculation pour questionner les imaginaires qui façonnent notre vision collective

Q091 | Quelle vision du monde se cache derrière l’annonce d’Yvon Chouinard, le fondateur de Patagonia ?
Dans une lettre adressée il y a une quinzaine de jours aux salariés de son entreprise, Yvon Chouinard explique que “la Terre est désormais le

Q165 | Que se cache-t-il derrière l’expression Horizon Scanning ?
Il y a des expressions anglaises tellement représentatives dans leur langue originale que la traduction dans une autre se révèle un vrai défi. Cela est

Q306 | Faut-il décarboniser la pensée ?
L’actuelle guerre cognitive, dite à bas bruit par les hautes instances de défense militaires internationales, a pour «effet final (…) de modifier ou d’altérer le
L’homme commet souvent dix nouvelles erreurs pour en dissimuler une, pour résoudre une seule difficulté, il n’hésite pas à en créer dix nouvelles.
De même que l’ironie est une prestidigitation des représentations et des idées, la ruse est une prestidigitation des actes.
Les lois du développement organisationnel :
- Ceux qui étaient à l’aise avec les activités et arrangements d’une phase sont ceux qui ont le plus de chances de percevoir la suivante comme une sérieuse contrariété personnelle.
- Le succès de toute phase déclenche sa fin en créant des défis pour lesquels elle n’est pas armée.
- Dans toute transition significative, ce à quoi l’organisation a besoin de renoncer est précisément ce qui l’a amenée jusqu’ici.
- Dès lors qu’arrive une période troublée et douloureuse, c’est probablement q’une transition de développement est en cours.
- Pendant la première moitié du cycle de vie – jusqu’à la réussite -, ne pas accomplir une transition quand il est temps qu’elle se produise causera un «retard« dans le développement de l’organisation.
La transparence tue la confiance au lieu de la favoriser, car elle ne reconnaît pas à l’autre son altérité. Il faut aussi de la pénombre et du retrait, en effet, des zones de discrétion et de silence, en pointillé, non seulement pour que les affaires se fassent mais également pour que des relations puissent se nouer et prospérer. Si nous sommes si maladroits à penser la confiance en Europe, c’est que nous ne pensons que ce que détache le logos, et ce par attention atavique à l’énoncé, seul constitutif de la vérité – tandis que la confiance relève de l’implicite, chemine dans la pénombre, s’accroît de sa continuité et n’a que faire de parler.

Q264 | Imaginer les métiers publics de demain via la fiction
Dans une époque en constante transformation et incertitudes croissantes, Les enjeux des services publics sont nombreux et ne cessent de se multiplier. A titre d’exemple,

Q263 | Le feedback : la langue de la prospective ?
Le feedback stimule l’action. En effet, en le pratiquant, vous êtes dans le moment présent, vous êtes avec l’autre personne en essayant de la rendre
Que la stratégie soit belle est un fait, mais n’oubliez pas de regarder le résultat.
Pour comprendre le complexe, il faut être capable de concevoir l’unité au sein de la diversité. Le passé et le futur, le présent et l’absent, l’ordre et le désordre, tout en étant ennemis l’un de l’autre, coopèrent d’une certaine façon pour créer et recréer en permanence l’univers.
Personne, par même les artistes, ne comprend l’art. Son rapport à la vitesse. Le travail que cela exige, année après année, pour maîtriser le savoir-faire, la confiance dans le processus, un travail sans doute plus intense que celui investi par un athlète préparant les Jeux olympiques car il ne s’arrête jamais, pas même dans les rêves, et ensuite, quand le savoir-faire et la confiance sont acquis, ce qu’on fait de mieux est ce qui demande le moins d’effort.
En général. Les choses viennent vite, sans qu’on y pense, comme un cheval qui vous renverse la nuit. Mais. Même si les gens comprennent ça, ils ne comprennent pas que parfois, les choses ne se passent pas ainsi. Parce que le processus a toujours été le suivant : des années d’artisanat ; puis la foi ; puis le lâcher-prise.
Mais alors, ce qu’on fait de mieux peut être le fruit d’un véritable calvaire. Des fragments mis bout à bout, déchirés, repris. tout ce que l’on a appris, remis en questions, la terrible crise de la foi, la foi qui permet à tout cela de fonctionner.
Mon Dieu. Après quoi, malgré tout, si l’on survit à l’avancée laborieuse et à la fièvre, il arrive qu’on produise sa meilleure oeuvre.
C’est cela qu’aucun de nous ne comprend.
