#6 Ketty Steward | Raconter et écouter de nouvelles histoires
Ketty Steward a plus d’une corde à son arc. Autrice, elle a publié son dernier
#5 Cyrus Farhangi | Comprendre les limites écologiques et sociales à la croissance
Cyrus Farhangi est consultant. Il intervient auprès d’administrations publiques, d’établissements d’enseignement supérieur et de recherche
Q200 | Quelles actions pour mieux diffuser le travail d’un dispositif de prospective ?
Si votre organisation a décidé de mettre sur pied un dispositif de prospective, ou pour le moins de supporter des activités dans ce domaine, cela
Q078 | Un cycle de conférences? Pour quoi faire ?
Une conférence c’est bien, plusieurs c’est mieux! Le but d’une conférence dans le contexte présenté ici est avant tout le partage d’informations et d’expériences par
Q074 | Comment voyager dans le temps ?
Lors d’un exercice de prospective, y compris technologique, l’objectif est bien de décrypter les tendances à l’oeuvre, les signaux faibles émergents, les nouveaux jeux d’acteurs
Q111 | Des mots pour inventer le futur ?
On ne peut pas penser sans mots. « Il n’existe pas de pensée sans langage. C’est le mot qui donne à la pensée son existence
Sur dix erreurs politiques, il y en a neuf qui consistent simplement à croire encore vrai ce qui a cessé de l’être. Mais la dixième, qui pourra être la plus grave, sera de ne plus croire vrai ce qui l’est pourtant encore.
Le plus effrayant dans cette crise serait que tout redevienne comme avant.
Les passions vont vivre l’homme, la sagesse le fait seulement durer.
Le lien causal entre une technique et une culture n’est ni automatique ni unilatéral. […]
Des innovations techniques rendent possibles ou conditionnent l’apparition de telle ou telle forme culturelle (pas de science moderne sans imprimerie, pas d’ordinateurs personnels sans microprocesseurs) mais elles ne les déterminent pas nécessairement.
On ne mesure le vide du temps passé que le jour où l’on existe véritablement. La vie, non les jours qui passent, se résume parfois à un instant, une journée, une semaine ou un mois. On sait qu’on vit parce qu’on souffre, parce que soudain tout compte et parce que ce moment se terminant, le reste de l’existence devient un souvenir qu’on essaie vainement de revivre jusqu’au dernier souffle.