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Merci ! Tout est clair !
En aucun cas ! C'est l'angle « sectoriel » de l'article qui veut cela, en parlant du secteur de l'éducation et non de l'éducation au sens large.
Merci de la réponse ! Nul doute que le sujet soit complexe et compliqué ! Cela me surprend tout de même de constater que le rôle des parents se voit désormais défini en rapport à une technologie…
Bonjour Quentin, merci pour votre commentaire ! Il faudrait un ouvrage entier pour aborder toutes les ramifications et incidences induites : infrastructures (la salle de classe fait-elle encore sens), rôle des parents (comme vous le soulignez justement),…

La plupart des traditions ne sont que les maladies d’une société.

La « question idiote » est souvent le premier indice d’un développement totalement nouveau.

Le management lui-même se perd dans les injonctions et dans les nouveaux outils qui sont censés nous faire gagner du temps mais qui, en réalité, nous font perdre le bon sens.

Le grand dilemme qui a structuré la politique au XXe siècle est le rapport entre l’État et le marché : quelle part de notre vie et de fonctionnement de notre société doit être sous le contrôle de l’État et quelle part doit être laissée au marché et à la société civile ? Au XXIe siècle, le clivage décisif devient celui entre l’humain et la machine.
Dans quelle mesure nos vies doivent-elles être soumises à de puissants systèmes numériques – et à quelles conditions ? En fin de compte, les individus et les sociétés devront décider quels aspects de la vie réserver à l’intelligence humaine et quels aspects confier à l’IA ou à la collaboration entre l’homme et l’IA.
Et chaque fois qu’ils choisiront de privilégier l’humaine, là où une IA aurait pu garantir des résultats plus efficaces, il y aura un prix à payer.

[…] la superposition quantique des états laisse ouverte la possibilité de faire un choix différent de celui que l’on avait initialement envisagé de faire, au moment même où l’on décide de le mettre en oeuvre: passer de l’acte (choisir) a modifié la préférence initiale !

Bienvenue en incertitude, 2018
Histoire

Q223 | Ce que l’incertitude nous fait

Quel est le point de convergence entre un réacteur nucléaire et le COVID ? A priori aucun. Pourtant, la crise du COVID a illustré de

Si j’avais une heure pour résoudre un problème, je passerais cinquante-cinq minutes à définir le problème et seulement cinq minutes à trouver la solution.

Pour résoudre il faut comprendre.

La première loi du comportement stratégique est l’action. En situation d’incertitude, lorsque la légitimité du pouvoir est précaire et peut être remise en cause à tout moment, celui qui n’agit pas peut être sûr que les changements auront lieu à son désavantage.

Les lois du développement organisationnel :

  1. Ceux qui étaient à l’aise avec les activités et arrangements d’une phase sont ceux qui ont le plus de chances de percevoir la suivante comme une sérieuse contrariété personnelle.
  2. Le succès de toute phase déclenche sa fin en créant des défis pour lesquels elle n’est pas armée.
  3. Dans toute transition significative, ce à quoi l’organisation a besoin de renoncer est précisément ce qui l’a amenée jusqu’ici.
  4. Dès lors qu’arrive une période troublée et douloureuse, c’est probablement q’une transition de développement est en cours.
  5. Pendant la première moitié du cycle de vie – jusqu’à la réussite -, ne pas accomplir une transition quand il est temps qu’elle se produise causera un «retard« dans le développement de l’organisation.

Nous sommes une communauté de
pratiques de la prospective.

Notre force, c’est la diversité !