
Q089 | Pourquoi et comment un jeu de cartes peut se révéler utile dans un dispositif de prospective ?
A la fois un outil et livrable possible d’un dispositif de prospective, le jeu de carte est un élément ludique, facile d’utilisation et présentant de

Q070 | Pourquoi utiliser des scénarios ?
Dans le langage courant, un scénario est un document écrit censé décrire l’action qui se déroulera dans un film, une série télévisée, un jeu vidéo

Q295 | Pourquoi conjuguer une thématique prospective sur plusieurs livrables ?
Tous les livrables n’ont pas été rendus publics en même temps, ce qui masque un peu l’ensemble. Pourtant, chacun éclaire un angle particulier d’une même
Sachez que le plaisir d’apprendre est davantage dans le détail que dans le résumé.
L’un voulait avoir la Théorie des frottements en vingt volumes, l’autre la Compilation des problèmes électriques, celui-ci le Traité pratique du graissage des roues motrices, celui-là la Monographie du nouveau cancer cérébral.
Les Harmonies Électriques de Martillac, ouvrage couronné par l’Académie des Sciences, les Méditations sur l’oxygène de M. de Pulfasse, le Parallélogramme poétique, les Odes décarbonatées…
Rien n’est pire, on le sait, que de vouloir répéter ce qui a précédemment conduit au succès : puisque la situation est nouvelle, son potentiel l’est aussi et le précédent est révolu.

Q225 | Quelles ambitions pour les organisations qui se projettent dans le(s) futur(s) ?
L’ambition correspond aux attentes que l’organisation va placer dans la mise en œuvre d’une démarche d’anticipation. À la lumière de notre étude, nous pouvons déjà

Q224 | Pourquoi certaines organisations se projettent-elles plus que d’autres ?
Entamons notre exploration du “pourquoi” de l’anticipation en investiguant ce qui incite les organisations à se projeter, ce que nous avons appelé la “propension à
Attends tout ce qui vient à toi, mais ne désire que ce qui vient à toi. Ne désire que ce que tu as.
Le secret est que le prince ne partage avec personne, pas même avec ses parents ou ses familiers ; la complète dissymétrie des rôles, ensuite, et l’antagonisme des positions : pour conserver entier le potentiel de situation que constitue sa position souveraine, le prince doit considérer tous les autres, à l’intérieur de son royaume, comme autant d’adversaires à soumettre à son autorité ; la prise sur autrui permettant de le dominer : de même que le stratège a barre sur l’ennemi grâce à la disposition que prend celui-ci, le prince a barre sur tous ses sujets en les rendant visibles par la surveillance et le contrôle imposés (en même temps que lui-même se garde de laisser voir aucune disposition intérieure, de joie ou de colère, pour ne pas donner prise sur lui) ; la réduction de l’autre à la passivité : dès lors qu’il est seul à tenir les commandes (des récompenses et des châtiments), le prince polarise sur son trône toute autorité, et personne ne peut lui résister ; enfin, l’illusion entretenue par le peuple sur son propre intérêt : conduit par le désir des récompenses et la peur des châtiments, tout sujet croit suivre son profit personnel sans se rendre compte qu’il travaille seulement à conforter le pouvoir de son oppresseur.
L’enjeu n’est pas tant de savoir quelle force armée va gagner, mais quel récit, quelle version des faits va l’emporter auprès de l’opinion publique. Concrètement, la guerre de l’opinion publique telle que pensée par les Chinois consiste à faire de « l’orientation cognitive » des masses, d’exciter leurs émotions et de « contraindre leur comportement ».
