
Q058 | Et si la stratégie était l’art d’apprendre en utilisant le futur ?
Introduction L’économie de marché puise son énergie dans la capacité sans cesse renouvelée de l’Homme à innover, c’est-à-dire finalement à configurer le futur selon l’idée

Q266 | Quand les imaginaires ouvrent des futurs : retour d’expériences sur leur mobilisation dans les organisations
Les organisations font face à des incertitudes croissantes qu’elles subissent souvent plus qu’elles ne les anticipent : instabilité géopolitique, crises sociales et environnementales, pénuries de

Q179 | La fiction comme un système complexe ?
La société contemporaine dépend largement des progrès technoscientifiques. Subtilement,
la technique s’est insinuée dans la vie de tous les jours. Désormais, les outils technologiques

Q088 | Qu’est-ce que la simulation numérique peut apporter à la prospective ?
Si le jeu peut être considéré une branche spécifique du monde de la simulation, l’utilisation de modèles numériques représentant des phénomènes physiques est ce qui

Q002 | Quelle est l’histoire de la prospective ?
Le mot “prospective” a été inventé en France par Gaston Berger, considéré comme le fondateur de l’attitude éponyme. Berger insiste en effet sur le fait
Le pétrole, c’est un style de vie, une culture et des récits qui structurent nos sociétés patriacales.
Cette opération, qui consiste à modifier le contexte d’un problème, à le regarder, pour ainsi dire, avec des lunettes de couleur différente, me semble faire partie de l’essence même du processus créatif.
Ce qui est important, c’est d’être capable à tout moment de sacrifier ce qu’on est à ce qu’on pourrait devenir.
Ce recours au merveilleux est en outre un moyen efficace d’évoquer des menaces plus ou moins lisibles et les moyens de s’en défendre. Il s’appuie à cet effet sur des analogies qui rendent les concepts techniques plus compréhensibles. Un « cheval de Troie » évoque immédiatement l’idée d’un objet semblant inoffensif, mais qui se révèle menaçant. Les entités mythologiques ou folkloriques, comme les « trolls » ou les « centaures », cont visuellement et conceptuellement marquantes ; on s’attend à ce que les trolls numériques sèment la discorde, comme les trolls des récits légendaires provoquaient des conflits. Employer le mot « bug » pour un défaut, un aléa ou une erreur informatique attribue une sorte d’intention malveillante à un problème technique. Mentionner la présence de virus et de vers, avec leur connotation parasitaire et leur capacité à provoquer des fléaux, a une certaine efficacité langagière pour faire comprendre les menaces cachées et les dangers potentiels des systèmes informatiques. Ces termes viennent au fond rencorcer l’idée que les machines, tout comme les territoires inconnus des contes et légendes fabuleuses, peuvent contenir des périls insoupçonnés.
Le savoir est un bien non-excluable, non rival, et cumulatif. Non-excluable signifie qu’il est difficile de le rendre exclusif et de le protéger éternellement. Exclure un tiers de son usage est coûteux et temporaire. Non rival veut dire qu’il ne se détruit pas à l’usage. Nous pouvons utiliser une connaissance des milliers de fois sans qu’il n’en coûte, et des milliers de personnes peuvent l’utiliser sans que personne n’en soit privé. Cumulatif, enfin, envoie à l’idée que toute connaissance peut produire de nouvelles connaissances, elles-mêmes non rivales et non-excluables. Le savoir est un bien de production et non un bien de consommation. L’économie de la connaissance est au service de l’économie de la vie.

Q224 | Pourquoi certaines organisations se projettent-elles plus que d’autres ?
Entamons notre exploration du “pourquoi” de l’anticipation en investiguant ce qui incite les organisations à se projeter, ce que nous avons appelé la “propension à

Q223 | Ce que l’incertitude nous fait
Quel est le point de convergence entre un réacteur nucléaire et le COVID ? A priori aucun. Pourtant, la crise du COVID a illustré de
Se réaliser n’est rien d’autre que servir l’humanité.
Il n’y a aucune chance que l’Iphone gagne la moindre part de marché significative
Je parle, non pour dire à l’autre, mais pour lui faire dire ; et, de même, j’écoute, non pour suivre l’autre, mais pour m’imposer à lui.
La force du feedback, c’est qu’il permet d’être exigeant et bienveillant dans une seule et même formule. Exigeant sur les résultats, bienveillant avec les personnes. Exigeant avec ce que les gens font, bienveillant avec ce que les gens sont. Dur avec les problèmes, doux avec les personnes. Le feedback, ce n’est pas l’un ou l’autre : c’est l’un et l’autre. Le but poursuivi avec le feedback est d’être à la fois performants et humain.
