
Q267 | La fiction, un outil puissant de prospective ?
L’Humain à l’ombre des techno-conflits montre que raconter le futur peut être une démarche créative, sensible et stratégique. En croisant prospective, sciences humaines et narration

Q308 | Apprendre sans écouter
La personnalisation était censée rendre la technologie plus humaine, anticiper nos besoins, simplifier nos choix et nous faire gagner du temps. Mais en réalité, la

Q261 | Le pouvoir de façonner demain
La négociation est souvent perçue à tort comme une bataille de volonté, un concours de force où le gain d’une partie est la perte de

Q096 | Crises, éducation et prospective: comment en sortir mieux préparé et plus fort ?
La difficulté de prévoir les crises dépend de plusieurs facteurs. L’une des principales est que les crises sont souvent le résultat d’événements imprévisibles ou d’une
Les commencements impliquent de nouvelles situations. Les nouveaux départs impliquent de nouvelles compréhensions, valeurs, attitudes et par-dessus tout de nouvelles identités.
Voltaire disait que les pires misogynes sont toujours les femmes.
La seule chose que nous savons de l’avenir est qu’il sera différent du présent. Ce qui existe aujourd’hui changera. Ce à quoi l’avenir ressemblera est un débat pour les futuristes. La seule certitude est que le laps entre ici et là-bas sera fait de changements. Qui dit changement, dit transition. C’est l’équation irrémédiablement prédictible.
changement + êtres humains = transition
Il n’existe aucun moyen d’y échapper. Mais vous pouvez la gérer. Si vous voulez vous en sortir en un seul morceau, vous devez l’accompagner.
Il est facile de se faire obéir si l’on s’appuie sur le potentiel de sa position, tandis que cela reste difficile si l’on compte sur le mérite ou les bons sentiments.

Q225 | Quelles ambitions pour les organisations qui se projettent dans le(s) futur(s) ?
L’ambition correspond aux attentes que l’organisation va placer dans la mise en œuvre d’une démarche d’anticipation. À la lumière de notre étude, nous pouvons déjà

Q224 | Pourquoi certaines organisations se projettent-elles plus que d’autres ?
Entamons notre exploration du “pourquoi” de l’anticipation en investiguant ce qui incite les organisations à se projeter, ce que nous avons appelé la “propension à
Quand on est jeune, on voit le monde comme il devrait être. En vieillissant, on le voit comme il est réellement. Vous guérirez, vous verrez.
Pour Illich, un outil convivial devait répondre à trois exigences :
– il doit être générateur d’efficience sans dégrader l’autonomie personnelle. Il ne doit pas m’enlever ma capacité à faire les choses par moi-même ;
– il ne doit susciter ni esclave ni maître ;
– il doit élargir notre rayon d’action personnelle.
Seul l’outil convivial s’avère « conducteur de sens, traducteur d’intentionnalité ».
Le souci est qu’Illich s’en tient (c’est aussi la marque d’un époque) à la dialectique du dominant et du dominé. Pour lui, » l’homme a besoin d’un outil avec lequel travailler, non d’un outillage qui travaille à sa place. Or il est manifeste aujourd’hui que c’est l’outil que de l’homme fait son esclave « . Ou encore : » Conviviale est la société où l’homme contrôle l’outil. «
[…] Puisque la façon dont on voit le monde est le reflet de son identité individuelle et collective, on ne peut pas penser la complexité de celui-ci à partir d’un corps social homogène sans quoi on s’expose à des surprises douloureuses. Il faut donc […] induire des mécanismes permettant aux opinions divergentes constructives de s’exprimer. C’est la meilleure protection contre les cygnes noirs. […]
La conversation stratégique considère l’ensemble, pas le sommet; elle est démocratiques, pas élitiste; elle s’inscrit dans un flux, pas dans un calcul a priori; elle accueille les surprises, elle ne les évite pas.
Une condition de la réussite de la conversation stratégique est de rendre ses hypothèses et croyances explicites, et de les revisiter régulièrement pour les tester et voir si elle sont encore valables.