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Quand la fiction s'inspire de la réalité, pour la rencontrer ensuite à nouveau ! C'était le 5 novembre à Sierre, c'était Aquaflux avec les Blue-Corps Un grand merci à Lauriane Pipoz et à Rhone FM pour avoir…
Julien Duprat @ Anthromimie
octobre 25, 2025 at 1:17 pm
Un concept dont nous entendrons beaucoup parler à l avenir ! Merci Anne-Caroline et Luc pour le partage !
Merci Olivier ! Je travaille en ce moment sur la question du retour sur investissement de la professionalisation des activités de veille et de la mutualisation de la gestion de l'information; espérons que cela donne de la…
La prévalence de la finance dans nos grandes organisations a malheureusement sonné le déclin de l'intelligence en entreprise. Félicitations Julien pour cet article. Je ne connaissais pas les subtilités de tous ces métiers.

Avec le temps, vous verrez que parfois, ce qui compte, ce n’est pas ce qu’on a, mais ce à quoi on renonce.

Rappelons-nous que l’homme est un être de fiction : dans ce double sens qu’il raconte depuis toujours son univers au travers d’histoires et qu’il influence son propre univers en écoutant ses histoires.

Ceux qui veulent sincèrement être vrais se contredisent plus rarement que ceux qui essaient d’être cohérents.

Nous, les mortels, nous ne parvenons jamais à connaître notre véritable destin, pour la plupart ; nous sommes simplement bousculés par lui, renversés. Quand nous relevons la tête et que nous le voyons s’éloigner sur la route, il est trop tard, et nous devons faire le reste du chemin dans le fossé de ce que les rêveurs appellent la maturité. L’espoir est simplement la foi dans le fait que ce moment n’est pas encore arrivé, que nous parviendront à discerner notre véritable destin quand il approchera et que nous pourrons sauter à bord avant de voir s’évanouir à jamais l’opportunité d’être nous-mêmes, nous condamnant à vivre du vide, avec la nostalgie de ce qui devait être et ne fut jamais.

Éduquer d’accord, vous me direz, mais à quoi ? À ce qui fait nos routines et nos quotidiens d’utilisateurs, déjà. À la manipulation de notre attention ensuite. À la prise de distance. Et interroger. Pour ouvrir les crânes, pour sortir des tunnels stimuli-réactions. Interroger tout ce que le numérique transforme en nous, sans cesse, et tout ce que ça traverse. Interroger la psychologie que ça mobilise, les rapports sociaux que ça forme, les enjeux philosophiques que ça soulève, et la politique qui en découle. Interroger ce que peut encore l’État, ce que peuvent encore défendre ou réguler le droit et les lois.

La certitude de l’avenir pétrifie jusqu’aux heures bénies du passé.

Go Ganymède !

Plutôt que d’essayer de surpasser l’adversaire par la complexité des plans, il faut au contraire toujours chercher à le devancer par la simplicité.

Je parle, non pour dire à l’autre, mais pour lui faire dire ; et, de même, j’écoute, non pour suivre l’autre, mais pour m’imposer à lui.

La performance n’est pas seulement des années de pratique ; Il s’agit d’années de pratique caractérisées par l’envie délibérée de progresser en permanence.

Je crois qu’il existe un talent qui consiste à créer sa chance. La chance est une catégorie de l’expérience autour de laquelle viennent se tisser des récits. Elle se manifeste en générant régulièrement des opportunités, en discernant ces opportunités et en transformant ces opportunités. Qui ne développe pas ces trois aptitudes pourra passer sa vie à blâmer le destin. Si vous voulez de changement et que vous ne voulez pas changer, vous placez tout votre avenir dans l’incertitude du changement de votre environnement.

Les personnes chanceuses n’hésitent pas à demander. Et elles transforment très vite les informations qu’elle décident de garder.

Nous sommes une communauté de 
pratiques de la prospective

Notre force, c’est la diversité !