Merci monsieur Pitrel pour ce podcast. Vous avez mentionné Jean Marc Jancovici et le shift project au cours de l'entretien. Je fais moi-même partie du groupe local des shifters de Toulon et nous cherchons un peu de…
Merci ! Tout est clair !
En aucun cas ! C'est l'angle « sectoriel » de l'article qui veut cela, en parlant du secteur de l'éducation et non de l'éducation au sens large.
Merci de la réponse ! Nul doute que le sujet soit complexe et compliqué ! Cela me surprend tout de même de constater que le rôle des parents se voit désormais défini en rapport à une technologie…

Abonnez-vous

Recevez un email à chaque nouvelle publication
Votre adresse de messagerie est uniquement utilisée pour vous informer d’une nouvelle publication sur ce site. Vous pouvez à tout moment utiliser le lien de désabonnement intégré dans chacun de nos mails.

C’est la raison qui rend fou, pas l’imagination. Les mathématiciens et les joueurs d’échecs sombrent dans la folie, le danger est dans la logique.

La différence entre l’homme qui met son humour dans la vie et celui qui fait de l’humour est la même qu’entre un aventurier et un homme qui a le goût de l’aventure.

Pression environnementale et sociale à laquelle s’ajouter la pression de générer des profits, dans un monde à la croissance limitée par les matières premières et les ressources… Voilà le défi principal.

Il n’est pas aisé d’admettre pour soi-même, et encore moins de faire admettre que le point d’origine se pose après coup (c’est le christianisme qui a fait le Christ, non l’inverse) ; que la technique a inventé l’homme, et non l’inverse ; que le dehors est aussi au-dedans et que le centre se déduit d’une périphérie, et non l’inverse ; que le transport d’une idée la transforme ; que ce sont les corps qui pensent (s’il n’est d’esprit que «de corps») ; et que nos panoplies décident de nos finalités, non l’inverse.

Le pouvoir de l’IA n’a rien de démocratique, ni de transparent. Plus qu’artificielle, l’IA est une forme d’intelligence autoritaire, qui centralise les données et les transforme en pouvoir. Le tout dans l’opacité la plus totale, sous le contrôle d’une poignée d’entrepreneurs et de scientifiques qui chevauchent le tigre en espérant ne pas se faire dévorer.

Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez.

Netflix, je n’y crois pas. La vidéo à la demande par abonnement, ça ne marchera jamais, il n’y a pas de marché en France

PDG de Canal+ en 2013
Méthode à Jules

La Technologie Totale se fonde techniquement sur la personnalisation de masse qui engendre à son tour une atomisation encore plus fine du tissu social, du lien, du « commun ». La Technologie Totale n’est pas une idéologie problématique parce qu’elle est technologie, celle-ci peut aussi être mise au service de l’invention, de la connaissance et du progrès et, pour ma part, je ne crois pas que le problème soit la technologie en tant que telle. C’est plutôt sons « totalisme » massifiant, son « implicite » idéologique dont l’un des carburants est la dislocation de l’intime qui pose problème. […]

Le contrôle de l’individu ne passe plus exclusivement par la coercition mais par la « séduction » standardisée et ultra-consumériste qui flatte et exploite des egos affaiblis. La société de masse composée d’individus psychiquement perdus, fragiles, sans repères solides se transforme en « société de survie » avec une aspiration forte pour un Etat paternaliste, substitut de la figure, castrée, du père. La société de survie, celle qui précisément caractérise la société de masse, la nôtre, est une société par nature égoïste, violente, brutale. Car, c’est assez simple : trop occupés à survivre seuls matériellement ou psychiquement, comment, avec qui, contre qui, se battre ?

— Des malades ! Est-ce que nous avons des malades depuis que les coutumes chinoises ont été adoptées en France ! C’est ici comme si vous étiez en Chine.
— En Chine ! Cela ne m’étonne pas !
— Oui ! Nos clients ne nous paient d’honoraires que pendant qu’ils sont bien portants ! Ne le sont-ils plus, la caisse est fermée ! Aussi, n’avons-nous pas d’intérêt à ce qu’ils tombent jamais malades ! Donc, plus d’épidémies, ou presque pas ! Partout des santés florissantes que nous entretenons avec un soin pieux, comme un fermier qui tient sa ferme en bon état !

Une ville idéale
Méthode à Jules

Nous sommes une communauté de
pratiques de la prospective.

Notre force, c’est la diversité !