Merci monsieur Pitrel pour ce podcast. Vous avez mentionné Jean Marc Jancovici et le shift project au cours de l'entretien. Je fais moi-même partie du groupe local des shifters de Toulon et nous cherchons un peu de…
Merci ! Tout est clair !
En aucun cas ! C'est l'angle « sectoriel » de l'article qui veut cela, en parlant du secteur de l'éducation et non de l'éducation au sens large.
Merci de la réponse ! Nul doute que le sujet soit complexe et compliqué ! Cela me surprend tout de même de constater que le rôle des parents se voit désormais défini en rapport à une technologie…

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La comédie nous enseigne qu’il ne faut pas prendre la vie au sérieux, et la tragédie nous apprend ce qui arrive quand nous n’accordons aucune importance aux enseignements de la comédie.

Une aventure est un désagrément bien compris. Un désagrément n’est qu’une aventure mal comprise.

Il est étonnant de voir ce que l’on peut accomplir si l’on ne se préoccupe pas de savoir à qui revient le mérite.

Apporter une bonne idée pour répondre à une urgence vitale ne suffisait pas à changer les choses. On ne changeait rien avec une simple idée, même belle. Car le pouvoir se cachait dans les forteresses. Encore n’était-ce là qu’un aperçu de la question : les forteresses s’appuyaient sur des fondations qui couraient jusqu’au centre de la Terre. Pour mieux résister au changement.

Répétons-le : une âme forte n’est pas une âme simplement susceptible de puissants élans, mais une âme capable de garder son équilibre dans les élans les plus puissants. Si bien que, malgré les tempêtes qui se déchaînent dans sa poitrine, son discernement et ses convictions conservent toute leur finesse pour jouer leur rôle, comme l’aiguille du compas sur le navire en pleine tourmente.

Le problème de l’avenir, c’est qu’il ne cesse de se transformer en présent.

Partout où la propriété est un droit individuel, où toutes les choses se mesurent par l’argent, on ne pourra ­jamais organiser la justice et la prospérité sociale. À moins que vous considériez comme juste la société où ce qu’il y a de meilleur est le partage des plus méchants. Ou que vous estimiez heureux l’État où la fortune publique se trouve la proie d’une poignée d’individus insatiables de jouissances, tandis que la masse est dévorée par la misère.

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Méthode à Jules

Pour évoluer dans un environnement que nous faisons évoluer, nous allons devoir évoluer encore plus vite. Nous sommes condamnés à être de plus en plus complexes. Tant que nous serons prisonniers de cette planète, la seule resource que nous n’aurons ni pillée ni épuisée sera l’énergie qui est en nous.

Entre l’albatros qui donne à peine dix coups d’aile par minute, entre le pélican qui en donne soixante-dix…
– Soixante et onze ! dit une voix narquoise.
– Et l’abeille qui en donne cent quatre-vingt-douze par seconde…
– Cent quatre-vingt-treize !… s’écria-t-on par moquerie.
– Et la mouche commune qui en donne trois cent trente…
– Trois cent trente et demi !
– Et le moustique qui en donne des millions…

Robur le conquérant
Méthode à Jules

Nous sommes une communauté de
pratiques de la prospective.

Notre force, c’est la diversité !