

Q190 | De l’idéation au pivot de la start-up : comment la méthode des « petits pas » permet d’ajuster le business model ?
Complexe, instable et incertain comme jamais, notre monde est à bout de souffle. Entre crise passive et métamorphose, le chaos semble nous mener vers la


Q189 | Quel scenario, quel récit dominant face à la désinformation ?
« Désinformation ». Les media se sont emparés de cette notion, pour nous l’expliquer et nous faire prendre conscience des différentes manifestations de ce fléau.


Q076 | Qu’attendre de la réalisation d’ateliers comme exercices de prospective technologique?
Une démarche de prospective est un exercice éminemment collectif. Dès lors, il est essentiel de créer des temps et des espaces propices à la réflexion


Q140 | L’importance de visualiser les futurs émergents
Notre concept de « futur » prend de nombreuses formes, selon les personnes que vous interrogez. Une caractéristique fréquente des efforts collectifs visant à donner


Q171 | Expérience d’un hackathon prospectif : quel avenir pour quelle formation professionnelle ?
Pourquoi organiser ou participer à un hackathon pour l’avenir de l’éducation ? Pourquoi investir un week-end autour d’une table ronde alors que vous pourriez passer
Connaissez-vous la différence entre un amateur et un professionnel?
« L’amateur sait ce qu’il faut faire, tandis que le professionnel sait ce qu’il ne faut pas faire. »
La radio n’a aucune valeur commerciale. Personne ne va payer pour un message envoyé à personne en particulier.
Hayley veut que tu sois toi-même. C’est tout ce qu’elle veut.
Pour ça, le seul moyen est de suivre son instinct. Fais ce que tu aimes, toujours. C’est la meilleur façon de rester en sécurité.
Il faut apprendre à se protéger de l’information pour privilégier le comprendre au savoir.

Q254 | Comment se projeter sur un sujet en évolution constante et exponentielle ?
Plus que le thème de l’IA générative en soi, c’est bien le processus et la transition entre aujourd’hui et un futur, quel qu’il soit, qu’il

Q253 | La viveza criolla : un modèle pour l’avenir ?
S’il est une chose qui définit notre identité, c’est bien la « viveza criolla » (traduit par vivacité créole): cette capacité à improviser et à
Grâce à nos îles, nous pourrons créer des micronations et inventer des modes de gouvernance décentralisés.
Une voix libre, si morose qu’elle soit, est toujours libératrice. Les voix libératrices ne sont pas les voix apaisantes, les voix rassurantes. Elles ne se contentent pas de nous inviter à attendre l’avenir comme on attend le train. L’avenir est quelque chose qui se surmonte.
On ne subit pas l’avenir, on le fait.
Or il ne s’agit plus de déplorer, d’exorciser ou d’édifier. On ne maîtrisera pas le devenir technologique en lui tournant le dos. La responsabilité consiste à comprendre sa logique pour anticiper autant que possible ses effets. Un discours sur les fins et les valeurs qui ne s’appuie pas sur un état précis des arsenaux est un discours creux. Un discours sur l’innovation, en revanche qui ne la passe pas au crible d’une mémoire est un discours dangereux.
L’écologie nous a habitué à l’idée, insolite et même choquante en société industrielle, que l’homme, comme individu, était responsable de la nature, et des équilibres écosystémiques dont il dépend pour sa survie, comme espèce. N’est -il pas temps d’étendre le principe de précaution à la sphère des signes et des formes, et de persuader chaque citoyen qu’il est individuellement responsable de la culture de sa communauté ? Et qu’il serait folie d’abandonner sa mémoire et sa créativité (les deux étant fonction l’une de l’autre) au marché et aux machines, sacrifiant ainsi le long terme pour le court terme ?
Lentement, je fus pris de la certitude absurde que tout était possible, et il me sembla que même ces rues désertes et ce vent hostile respiraient l’espoir. En arrivant place de Catalogne, je vis qu’une volée de pigeons s’était rassemblée en son centre. Ils recouvraient la place comme un manteau d’ailes blanches ondulant en silence. Je m’apprêtai à les contourner, mais je m’aperçus que l’attroupement m’ouvrait un chemin sans s’envoler. J’avançai avec hésitation, en voyant les pigeons s’écarter sur mon passage, puis resserrer les rangs derrière moi. Parvenu au milieu de la place, j’entendis les cloches de la cathédrale sonner minuit. Je m’arrêtai un instant, échoué dans un océan d’oiseaux argentés, et je pensai que ce jour avait été le plus extraordinaire et le plus merveilleux de ma vie.