Dico du futur

DatIAcide

Le datIAcide, résulte de la consommation d’électricité des IA, de l’eau utilisée pour

Dico du futur

Blablabanc

Le blababanc est un banc destiné à discuter, à échanger, à écouter. Les

Guerre cognitive

Ceci est l’épisode 4 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast. Ecrite et présentée par Bruno Giussani, elle décrypte les défis

Merci monsieur Pitrel pour ce podcast. Vous avez mentionné Jean Marc Jancovici et le shift project au cours de l'entretien. Je fais moi-même partie du groupe local des shifters de Toulon et nous cherchons un peu de…
Merci ! Tout est clair !
En aucun cas ! C'est l'angle « sectoriel » de l'article qui veut cela, en parlant du secteur de l'éducation et non de l'éducation au sens large.
Merci de la réponse ! Nul doute que le sujet soit complexe et compliqué ! Cela me surprend tout de même de constater que le rôle des parents se voit désormais défini en rapport à une technologie…

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Anthromimie

L’anthromimie désigne le phénomène par lequel les intelligences artificielles et les plateformes numériques imitent les comportements sociaux humains tout en façonnant en retour ceux de

Image d'une caresse de téléphone illustrant le néologisme "smartouille".

Smartouille

La smartouille est un geste devenu naturel. En quinze ans, il a colonisé nos corps. Chaque jour, nos doigts effleurent, tapotent, glissent sur nos écrans

Blablabanc

Le blababanc est un banc destiné à discuter, à échanger, à écouter. Les personnes qui s’assoient sont ouvertes à la discussion. Elles consentent à vivre

Datadindisme

Le dindinisme consiste à avoir une vision du futur qui soit la continuation du passé. Ayant une confiance dans la stabilité des tendances, on néglige

Comment la conscience peut-elle forger son propre discours, libre et critique, quand elle n’a plus d’autres repères qu’elle-même ?

La tactique est l’ensemble des petits pas que l’on fait pour arriver quelque part. La stratégie, ce sont les pas que l’on fait quand il n’y a aucun endroit où arriver.

Manager par les objectifs fonctionne si vous les connaissez. Quatre-vingt-dix pour cent du temps, ce n’est pas le cas.

[…] l’attribut le plus puissant du mal est qu’il nous invite à le combattre, et c’est comme ça – pris entre les griffes de nos émotions et les moyens que nous utilisons – que le mal se propage.

Quant à moi, dit le marin, que je perde mon nom si je boude à la besogne, et si vous le voulez bien, monsieur Smith, nous ferons de cette île une petite Amérique ! Nous y bâtirons des villes, nous y établirons des chemins de fer, nous y installerons des télégraphes, et un beau jour, quand elle sera bien transformée, bien aménagée, bien civilisée, nous irons l’offrir au gouvernement de l’Union ! Seulement, je demande une chose.
— Laquelle ? répondit le reporter.
— C’est de ne plus nous considérer comme des naufragés, mais bien comme des colons qui sont venus ici pour coloniser !

L’île mystérieuse
Méthode à Jules

DatIAcide

Le datIAcide, résulte de la consommation d’électricité des IA, de l’eau utilisée pour le refroidissement des serveurs et la production d’électricité ; de l’épuisement de

Blablabanc

Le blababanc est un banc destiné à discuter, à échanger, à écouter. Les personnes qui s’assoient sont ouvertes à la discussion. Elles consentent à vivre

Douter de ses certitudes est sans doute la plus belle humilité.

Quand il est évident que ton objectif est inatteignable, ne change pas d’objectif. Change ta manière de l’atteindre.

Tandis que l’agir est hasardeux, puisqu’il est contraint de s’aventurer dans une situation qu’on ne fait qu’aborder, qu’il est aussi coûteux, par ce qu’il dépense d’initiative et d’énergie pour se mettre en route, il en va tout autrement de l’agir-sans-agir de la réaction : réagir n’est plus risqué, puisque la situation est déjà mise à l’épreuve et s’est manifestée, ni non plus dispendieux, puisqu’on est porté par ce que l’autre a déjà investi d’activité (au lieu de débuter sur fonds propre).

Enfin, tandis que l’agir reste marqué par l’arbitraire de son geste inaugural et a dû forcer tant soit peu le réel pour s’y insérer, la réaction se trouve d’emblée justifiée par ce qui l’a suscitée.

L’action nécessairement est médiate (elle doit être préparée par une intention, motivée par un vouloir), tandis que la réaction peut être immédiate (en collant simplement à l’autre, sans coûter d’idée ou de volonté.

Toute stratégie reviendrait donc finalement au simple fait de savoir impliquer l’effet : de savoir engager la situation en amont de telle sorte que l’effet désiré en découle ensuite « naturellement ».

En poussant cette logique jusqu’au bout, on aboutit à ceci : le stratège est celui qui sait ménager le mieux le manque au sein de la situation (comme condition) de sorte qu’un effet compensateur, jouant en sa faveur, en résulte ensuite d’autant plus impérativement.

Nous sommes une communauté de
pratiques de la prospective.

Notre force, c’est la diversité !