Nous sommes une communauté de pratiques de la prospective
Notre force, c’est la diversité !
Q225 | Quelles ambitions pour les organisations qui se projettent dans le(s) futur(s) ?
L’ambition correspond aux attentes que l’organisation va placer dans la mise en œuvre d’une démarche d’anticipation. À la lumière de notre étude, nous pouvons déjà
Q224 | Pourquoi certaines organisations se projettent-elles plus que d’autres ?
Entamons notre exploration du “pourquoi” de l’anticipation en investiguant ce qui incite les organisations à se projeter, ce que nous avons appelé la “propension à
#47 Emery Jacquillat | Prévenir plutôt que subir
Emery Jacquillat est un entrepreneur, président de la CAMIF, une entreprise française de commerce en ligne, et cofondateur de la Communauté des Entreprises à Mission.
#46 Philippe Bihouix | Relever le défi des ressources
Philippe Bihouix est ingénieur, directeur général du groupe AREP, une filiale de la SNCF.
En France, il est l’un des premiers à s’intéresser à
Faux et usages de faux
Des fakes détruisant la crédibilité d’un influenceur provoquent une crise de confiance généralisée. Elle révèle la fragilité d’une société saturée d’informations invérifiables et fait craindre
Le procès des sans berceaux
Lanceur d’alerte hier, le Professeur Maximilien Amaury est accusé de crime contre l’humanité pour avoir créé un vaccin. Ce procès nous fait plonger dans un
Un être humain devrait savoir changer une couche-culotte, planifier une invasion, égorger un cochon, manœuvrer un navire, concevoir un bâtiment, écrire un sonnet, faire un bilan comptable, monter un mur, réduire une fracture, soutenir un mourant, prendre des ordres, donner des ordres, coopérer, agir seul, résoudre des équations, analyser un nouveau problème, répandre de l’engrais, programmer un ordinateur, cuisiner un bon repas, se battre efficacement, et mourir bravement.
La spécialisation, c’est bon pour les insectes.
Le design fiction se déploie dans l’espace entre l’arrogance de la science factuelle et l’imaginaire sérieusement ludique de la science-fiction, faisant des choses qui sont à la fois vraies et fausses, tout en étant conscient de l’ironie de la confusion – et la revendiquant même comme un avantage. C’est une pratique de design, tout d’abord, parce qu’elle ne fait pas autorité, elle n’a aucun intérêt à définir une vérité canonique. Elle peut travailler confortablement avec le vernaculaire et le pragmatique et parce qu’elle a dans son vocabulaire le mot “personne” – et non “utilisateurs” – avec tout ce que cela implique. Finalement, parce qu’elle peut fonctionner avec esprit, embrasser les situations paradoxales et adopter une position critique. Elle ne présume rien sur l’avenir, si ce n’est qu’il peut y avoir des avenirs simultanés et multiples et même une fin à tout.