
Q297 | Créer des liens entre différents futurs grâce à une expérience immersive
Les futurs se conjuguant nécessairement au pluriel, comment partager de façon vive et directe une diversité de récits, de visions, de questionnements ? Multiplier les

Datadindisme
Le dindinisme consiste à avoir une vision du futur qui soit la continuation

Q225 | Quelles ambitions pour les organisations qui se projettent dans le(s) futur(s) ?
L’ambition correspond aux attentes que l’organisation va placer dans la mise en œuvre d’une démarche d’anticipation. À la lumière de notre étude, nous pouvons déjà

Q308 | Apprendre sans écouter
La personnalisation était censée rendre la technologie plus humaine, anticiper nos besoins, simplifier nos choix et nous faire gagner du temps. Mais en réalité, la

Q173 | Le défi de l’exponentialité ?
Nous avions l’habitude de penser à l’avenir en imaginant ce que nous ferions demain. Aujourd’hui, nous l’envisageons en termes de technologie et de ce qu’elle

#19 Gaya Herrington | Limiting Growth
Gaya Herrington is Vice-President of ESG Research at Schneider Electric and she also serves as Advisor to the Club of Rome.

La bombe dans la cuisine
Ceci est le premier épisode de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast. Ecrite et présentée par Bruno Giussani, elle décrypte les

#15 Stéphane Foucart | Enquêter dans le monde anthropocène
Stéphane Foucart est journaliste au Monde, en charge des sciences de l’environnement.
Ses enquêtes s’intéressent aux effets délétères des pesticides sur l’environnement et

Guerre cognitive
Ceci est l’épisode 4 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast. Ecrite et présentée par Bruno Giussani, elle décrypte les défis
On ne découvre pas de nouvelles contrées sans consentir à perdre la terre de vue pendant un très long moment.
Dans l’ordre du vivant, ne pas s’adapter au changement est pathologique. À chaque fois que nous voulons apprendre plus vite, devenir plus performant, ou nous adapter à un nouvel environnement, nous avons besoin de feedback. Chacun de ces changements suit irrémédiablement un processus en quatre phases : l’orientation, la désorientation, la réorientation et l’intégration. Le feedback y a sa place à chacune de ces étapes et à chacune des transitions.
L’orientation, c’est le démarrage d’une intention, d’un projet ou d’une ambition. La désorientation, c’est la confrontation des idées avec la réalité. La réorientation, c’est l’enrichissement du projet de changement avec de nouvelles données. L’intégration, c’est la transformation de la vision en réalité. Les quatre stades de l’apprentissage […] suivent précisément ce modèle.
Être désorienté est une bonne nouvelle : cela signifie que nous sommes en mouvement.
La vraie clé de tout changement est la capacité à passer le plus efficacement possible de la phase de désorientation à la phase de réorientation, puis à persévérer.
Il se peut que la lumière qui éclaire notre univers s’éteigne et que nous soyons plongés dans une obscurité pareille à celle de cette nuit. Peut-être même quelque cataclysme, pire que la guerre, est-il déjà déclenché et, dans l’âme humaine, partout, les choses évoluent-elles de telle façon que tout ce qui doit être réglé le sera par le feu et par l’épée. Il se peut que cette réponse soit réellement arrivée.

Q286 | Mobiliser les imaginaires dans un scénario de design fiction
Nous avons mené pour l’Agence Régionale Énergie Climat d’Île-de-France (AREC) une étude entre sociologie et spéculation pour questionner les imaginaires qui façonnent notre vision collective

Q285 | Personnes, modèles, possibilités : La prospective sociétale en action
À une époque de transformation rapide, où les percées technologiques, les crises écologiques et les changements géopolitiques redéfinissent notre monde, le besoin d’une approche prospective

Smartouille
La smartouille est un geste devenu naturel. En quinze ans, il a colonisé nos corps. Chaque jour, nos doigts effleurent, tapotent, glissent sur nos écrans

Datadindisme
Le dindinisme consiste à avoir une vision du futur qui soit la continuation du passé. Ayant une confiance dans la stabilité des tendances, on néglige
Nous pensons parfois : quitte à changer beaucoup de choses, autant tout changer. Cela n’a pourtant de sens que si « tout » est un ensemble interconnecté.
Dans le contexte de l’intelligence artificielle, le terme a été choisi pour symboliser la combinaison de deux entités de nature distincte, mais si intégrées qu’elles en deviennent indissociables, et surtout très puissantes. Si cette voie semble prometteuse, certains observateurs rappellent néanoins la possibilité d’irruption de « centaures inversés » (reverse centaurs) lorsqu’un humain est sollicité non pas pour être outilé d’un système d’IA comme dans le cas des centaures, mais plutôt pour aider, ou servir, une machine [*].
Accessoirement, cela remet à sa place le délire actuel sur le « risque existentiel » que les intelligences artificielles feraient courir à l’humanité. Ce ne sont pas les machines numériques, mais bien les organisations – à commencer par les entreprises – qui ont pris leur autonomie et qui semblent poursuivre leurs objectifs de croissance et de profit sans se préoccuper de ce qu’elles détruisent.
Le numérique – sous sa forme actuelle – est leur outil, pas l’inverse.

