
#9 Paul Jorion | Sauver le genre humain
Paul Jorion est un anthropologue, expert financier, essayiste, chroniqueur et professeur associé à l’Université catholique

#8 Laurent Testot | Penser le temps long
Laurent Testot est journaliste scientifique, conférencier et essayiste. En France, il est l’un des rares


Q258 | Comment réussir la prospective au sein de gouvernements ?
Cet article explore quelques obstacles rencontrés par les responsables de la prospective au sein de gouvernements et propose des solutions permettant d’améliorer l’intégration de la


Q212 | Entre pertinence et acceptation : pourquoi choisir une tendance ?
Choisir quelle tendance ou signal faible traiter en prospective est une tâche délicate. Devant la multiplicité de ceux-ci, l’impact potentiel tout comme la viabilité à


Q277 | Anticipation : leçons d’une agression
Ce billet est un peu spécial, je vous l’annonce directement, car il a certainement pour but d’évacuer le vécu. Nous parlons beaucoup de cygnes noirs


Q015 | Pas-à-Pas – Comment écrire une fiction prospective ?
La série télévisée Black Mirror nous a démontré la puissance du récit pour immerger dans un futur possible et questionner nos choix technologiques de manière
Mentalement, j’ai acquis la conviction que le moteur le plus puissant chez l’humain est cognitif et émotionnel. Il n’empêche évidemment pas la raison, mais la raison est au service du moteur, pas l’inverse.
Manager par les objectifs fonctionne si vous les connaissez. Quatre-vingt-dix pour cent du temps, ce n’est pas le cas.
Plutôt que d’essayer de surpasser l’adversaire par la complexité des plans, il faut au contraire toujours chercher à le devancer par la simplicité.
Les fausses croyances sont bien plus dangereuses que l’ignorance. J’ai toujours préféré m’entourer de gens curieux de tout et qui parlaient des autres, que de gens croyant savoir tout et qui ne parlaient que d’eux.
L’un des dangers de progrès est qu’il donne l’impression qu’il peut nous délivrer du fardeau d’apprendre. c’est un mirage : dans l’entreprise comme dans la vie, il n’y aura jamais à moins apprendre ; il y aura toujours à apprendre différemment.
Devant une oeuvre de qualité un spectateur cesse de voir pour commencer à regarder, une action plus précise, une prise en chasse, une quête, comme on recherche le bateau d’un être aimé sur la ligne d’horizon, ou un élan entre les arbres. Devant un bon tableau, il cherche les indices de la propre existence.