
Q285 · Personnes, modèles, possibilités : La prospective sociétale en action
À une époque de transformation rapide, où les percées technologiques, les crises écologiques et les changements géopolitiques redéfinissent notre monde, le besoin d’une approche prospective

Q156 · Comment imaginer le patient de 2050 par la fiction ?
On pourrait presque dire que le futur dispose de propriétés quantiques. Tant que l’on ne mesure pas une particule quantique, celle-ci se trouve à plusieurs

Q032 · Comment lier prospective et innovation ?
Il n’y aurait a priori pas de raison fondamentale de les confondre, mais dans bien des situations, les frontières deviennent soudain floues et il n’est

Q155 · Comment la prospective réconcilie-t-elle développement durable et finance ?
Le parlement Européen a adopté de nouvelles règles de reporting pour les multinationales (21 avril 2021) : en plus de leurs résultats financiers, toutes les
Les gens résistent moins au changement qu’à la manière dont le changement est introduit et géré.
Nous avons tendance à surestimer l’effet d’une technologie à court terme et à sous-estimer son effet à long terme.
Une histoire n’a ni début ni fin, seulement des portes d’entrée.
Une histoire est un labyrinthe sans fin de mots, d’images et de pensées réunis pour nous révéler la vérité invisible sur nous-mêmes. En définitive, une histoire est une conversation entre une personne qui raconte et une personne qui écoute. Or un narrateur ne peut conter que dans la mesure de ses capacités, et un lecteur ne lit que ce qui est déjà écrit dans son âme.
Telle est la règle d’or sur laquelle repose tout artifice d’encre et de papier, parce que lorsque les lumières s’éteignent, que la musique cesse, que le parterre se vide, seul compte le mirage demeurant gravé dans le théâtre de l’imagination interne de tout lecteur. et également l’espoir de tout faiseur de contes : que le lecteur ait ouvert son coeur à l’une de ses créatures de papier et lui ait confié quelque chose de lui-même pour le rendre immortel, ne fût-ce que pendant quelques minutes.
Cela étant dit de façon plus grave que ne le mériterait sans doute le sujet, mieux vaut atterrir au ras de la page et demander à l’ami lecteur de nous accompagner jusqu’à la fin de cette histoire et de nous aider à trouver le plus difficile pour un pauvre narrateur pris dans son propre labyrinthe : la porte de sortie.
Nous, les mortels, nous ne parvenons jamais à connaître notre véritable destin, pour la plupart ; nous sommes simplement bousculés par lui, renversés. Quand nous relevons la tête et que nous le voyons s’éloigner sur la route, il est trop tard, et nous devons faire le reste du chemin dans le fossé de ce que les rêveurs appellent la maturité. L’espoir est simplement la foi dans le fait que ce moment n’est pas encore arrivé, que nous parviendront à discerner notre véritable destin quand il approchera et que nous pourrons sauter à bord avant de voir s’évanouir à jamais l’opportunité d’être nous-mêmes, nous condamnant à vivre du vide, avec la nostalgie de ce qui devait être et ne fut jamais.

Q261 · Le pouvoir de façonner demain
La négociation est souvent perçue à tort comme une bataille de volonté, un concours de force où le gain d’une partie est la perte de

Q260 · Comment réimaginer le futur au quotidien ?
Parfois, les prises de conscience les plus profondes naissent des moments les plus simples, de ces gestes quotidiens que nous répétons sans réfléchir et qui
Au-delà de la transformation, le récit est essentiel, il donne du sens, mais à la fin il n’existe pas d’actes sans conséquences.
La réalisation d’une machine volante plus lourde que l’air est impossible.
La frontière est l’autre nom de la peur. Sa matérialisation physique. Une frontière est faite de grillages barbelés à l’espoir d’une sécurité impossible.Un jour, on comprendra peut-être qu’il n’existe pas de formule sociopolitique pour être tranquille d’avance. Une société qui espère cette sérénité se suicide comme société libre.
Moi j’aime celles qui fabriquent des ponts – pas des murs. La formule est facile ? Elle pose bien la difficulté pourtant : faire un pont exige de l’art, une mise à niveau des berges, l’enjambement d’un fleuve, des piliers qu’on construit, des culées, des arcs et des câbles intelligemment tendus. Faire un mur demande juste | des briques.
[…] La rhétorique nous enseigne que ce sont là des questions ayant un sens et une structure. Si tu ne sais pas t’exprimer, Sheere, tu ne sais pas penser. Et si tu ne sais pas penser, tu es perdue.

