
Q216 | Intégrer un dispositif de prospective : ne serait-ce pas la grande innovation de l’organisation d’entreprise ?
Bien que les laboratoires d’innovation puissent également trouver certaines de ces idées intéressantes, ce texte s’adresse spécifiquement aux espaces dédiés à la réflexion prospective qui

Q157 | Changement, eustress et motivation: pourquoi institutionnaliser un processus prospectif ?
Les praticiens s’y reconnaîtront certainement, un des défis d’un dispositif de prospective est celui de l’impact. Pas l’impact d’un atelier, ou d’une activité, mais l’impact

Q241 | La prospective, boîte à outils des 30 Turbulentes
La pandémie de Covid-19 a évidemment bouleversé notre rapport au futur, révélant sa nature imprévisible et non-linéaire. Aujourd’hui, nous sommes confrontés à une situation encore
Il y a dans la vie deux catégories d’individus : ceux qui regardent le monde tel qu’il est et se demandent : « Pourquoi ? » Et ceux qui imaginent le monde tel qu’il devrait être et se disent : « Pourquoi pas ? »
Le big data reste toujours au niveau des corrélations, jamais des causalités, mais cette subtilité reste souvent ignorée du commun des mortels.
Dans un environnement d’incertitude, la meilleur protection n’est pas le contrôle, car il est impossible; cela revient à essayer de diriger un troupeau de chats. La meilleure protection est la relation avec la réalité de l’environnement.
La Technologie Totale se fonde techniquement sur la personnalisation de masse qui engendre à son tour une atomisation encore plus fine du tissu social, du lien, du « commun ». La Technologie Totale n’est pas une idéologie problématique parce qu’elle est technologie, celle-ci peut aussi être mise au service de l’invention, de la connaissance et du progrès et, pour ma part, je ne crois pas que le problème soit la technologie en tant que telle. C’est plutôt sons « totalisme » massifiant, son « implicite » idéologique dont l’un des carburants est la dislocation de l’intime qui pose problème. […]
Le contrôle de l’individu ne passe plus exclusivement par la coercition mais par la « séduction » standardisée et ultra-consumériste qui flatte et exploite des egos affaiblis. La société de masse composée d’individus psychiquement perdus, fragiles, sans repères solides se transforme en « société de survie » avec une aspiration forte pour un Etat paternaliste, substitut de la figure, castrée, du père. La société de survie, celle qui précisément caractérise la société de masse, la nôtre, est une société par nature égoïste, violente, brutale. Car, c’est assez simple : trop occupés à survivre seuls matériellement ou psychiquement, comment, avec qui, contre qui, se battre ?
Aussi les circonstances sont-elles immanquablement source de « friction », constatait Clausewitz, elles qui surviennent inopinément vis-à-vis du plan dressé d’avance et sont à quoi celui-ci doit progressivement de tomber à faux et d’achopper. Or penser la situation comme potentiel prend exactement le contrepied de ce négatif et le retourne : au lieu que la circonstance adventice se dresse comme un obstacle faisant déraper la modélisation, l’évolution même de la situation et son dynamisme en renouvellement (ce que dit de plus fort le terme de shi) sont ce sur quoi, n’ayant l’esprit engoncé par aucune projection, je peux ne cesser de prendre appui pour incliner ce situationnel à mon avantage et progressivement en tirer parti.

Q260 | Comment réimaginer le futur au quotidien ?
Parfois, les prises de conscience les plus profondes naissent des moments les plus simples, de ces gestes quotidiens que nous répétons sans réfléchir et qui

Q259 | Le design fiction pour combler un vide stratégique ?
Avec 3,5 millions de ressortissants établis hors de ses frontières, la France connaît aujourd’hui la plus grande dispersion de sa population à l’étranger de toute
Notre identité, c’est la personne que nous croyons être.
Notre réputation, c’est la personne que les autres savent que nous sommes.
Au milieu du gué, j’avais compris que mes rêves étaient constitués d’impossibles, mais que si je les abandonnais avant d’entrer sur le champ de bataille, je ne gagnerais jamais le moindre combat.
Il faut apprendre à se protéger de l’information pour privilégier le comprendre au savoir.

