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Merci ! Tout est clair !
En aucun cas ! C'est l'angle « sectoriel » de l'article qui veut cela, en parlant du secteur de l'éducation et non de l'éducation au sens large.
Merci de la réponse ! Nul doute que le sujet soit complexe et compliqué ! Cela me surprend tout de même de constater que le rôle des parents se voit désormais défini en rapport à une technologie…
Bonjour Quentin, merci pour votre commentaire ! Il faudrait un ouvrage entier pour aborder toutes les ramifications et incidences induites : infrastructures (la salle de classe fait-elle encore sens), rôle des parents (comme vous le soulignez justement),…
Blog letemps.ch
Gaëlle Rey

#Curiosités-Technologiques

Dans ce post, l’idée est de revenir sur la genèse d’une démarche expérimentale. Comme certains d’entre vous me l’ont demandé, voici quelques éléments à l’origine

Grâce à nos îles, nous pourrons créer des micronations et inventer des modes de gouvernance décentralisés.

cofondateur de la société Blue Frontiers
Méthode à Jules

L’univers est un plurivers.

Si la connaissance est parfois un problème, ce n’est pas par l’ignorance que nous pouvons la résoudre.

Dans la gestion des affaires diplomatiques ou politiques, le degré le plus simple de ce non-agir, on l’a vu, est l’attente : « le sage, dans/par le non-agir, attend qu’il y ait de la capacité » .

La formule mérite qu’on la relise, car elle prend plus de relief sous cet éclairage taoïste : non seulement, quand plus rien n’est porteur dans la situation, il n’y a plus rien à faire que d’attendre, et c’est en « osant » ne pas agir qu’on saura se conserver (ce qui est essentiel pour la suite : pour qu’il y ait une suite ; cf. l’attention taoïste portée au seul fait – primordial – de se maintenir en vie) ; mais, surtout, c’est en ne faisant plus rien, quand plus rien n’est favorable, en se gardant d’intervenir, que, ne troublant pas par son activisme la régulation à l’œuvre, on pourra le mieux la faire advenir.

On en revient à cette leçon que le taoïsme a le mieux enseignée : il est inefficace d’affronter la situation pour la forcer. Cet agir peut être héroïque – il est en tout cas spectaculaire – mais il est vain : il sera défait.

C’est au contraire « après avoir distingué le facile et le difficile » que le conseiller de cour « conçoit sa stratégie »  : son agir se réduit d’autant qu’il suit la ligne de plus grande aisance et n’est pas entravé ; ou encore, poursuit le traité de diplomatie, c’est « en se conformant à la spontanéité des processus en cours », le tao naturel, qu’il rend sa stratégie « effective » : plus il sait épouser le cours du réel, mieux cet agir réussit à se fondre dans la réalité et, par là, s’impose avec elle.

Celle-ci [la gouvernementalité algorithmique] suppose un nouveau régime de vérité postulant que chaque individu est par défaut potentiellement coupable jusqu’à preuve du contraire, justifiant par là même une surveillance  généralisée à l’affût du premier signe suspect. Nous passons de la prévention à la prédiction via des solutions de scoring et de profiling qui réduisent la complexité du réel et des cas particuliers à de simples lignes de code.

Cela impulse une inversion de la norme dans de nouvelles logiques basées sur le soupçon et le faisceau non pas de preuves mais de signaux algorithmiques. Or le légal n’est pas toujours légitime. Face à la complexité irréductible du monde, la pulsion techniciste pointe en filigrane le désengagement de l’Etat de ses prérogatives d’Etat social pour se replier vers des fonctions purement régaliennes.

Nous avons tendance à surestimer l’effet d’une technologie à court terme et à sous-estimer son effet à long terme.

L’homme qui va vivre 1000 ans est déjà né !

médecin
Méthode à Jules

Nous, les mortels, nous ne parvenons jamais à connaître notre véritable destin, pour la plupart ; nous sommes simplement bousculés par lui, renversés. Quand nous relevons la tête et que nous le voyons s’éloigner sur la route, il est trop tard, et nous devons faire le reste du chemin dans le fossé de ce que les rêveurs appellent la maturité. L’espoir est simplement la foi dans le fait que ce moment n’est pas encore arrivé, que nous parviendront à discerner notre véritable destin quand il approchera et que nous pourrons sauter à bord avant de voir s’évanouir à jamais l’opportunité d’être nous-mêmes, nous condamnant à vivre du vide, avec la nostalgie de ce qui devait être et ne fut jamais.

L’humanité ne saurait jamais atteindre une véritable conscience morale, de la même manière que l’homme ne pouvait s’élever du sol en tirant sur ses propres cheveux. Pour réussir, il fallait l’aide d’une force extérieure à l’homme.

Le problème à trois corps

Nous sommes une communauté de 
pratiques de la prospective

Notre force, c’est la diversité !