
Q285 | Personnes, modèles, possibilités : La prospective sociétale en action
À une époque de transformation rapide, où les percées technologiques, les crises écologiques et les changements géopolitiques redéfinissent notre monde, le besoin d’une approche prospective

Q035 | COVID-19 : comment commencer sérieusement à anticiper les impacts de la crise en 60 minutes chrono ?
Non, décidément, l’avenir n’habite pas à l’adresse indiquée. L’avenir, il va résolument falloir l’imaginer. En ce moment-même, nous assistons à l’émergence spontanée de multiples initiatives

Q190 | De l’idéation au pivot de la start-up : comment la méthode des « petits pas » permet d’ajuster le business model ?
Complexe, instable et incertain comme jamais, notre monde est à bout de souffle. Entre crise passive et métamorphose, le chaos semble nous mener vers la

Q207 | Une prospective (créative) de l’Entreprise
Surprise : si l’on rencontre pas mal de prospectivistes dans les grandes entreprises, et beaucoup de bons travaux de prospective du travail, l’entreprise elle-même n’est
Si vous voulez trouver les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergie, de fréquence, d’information et de vibration.
Parfois, il faut savoir agir avant de penser, parce que sinon, vos modèles mentaux vous rattrapent et vous enferment dans vos automatismes. En incertitude, agir permet de découvrir des choses cachées que seul l’action révèle.
Ah ! s’écria Cyrus Smith, te voilà donc redevenu homme, puisque tu pleures !

Q261 | Le pouvoir de façonner demain
La négociation est souvent perçue à tort comme une bataille de volonté, un concours de force où le gain d’une partie est la perte de

Q260 | Comment réimaginer le futur au quotidien ?
Parfois, les prises de conscience les plus profondes naissent des moments les plus simples, de ces gestes quotidiens que nous répétons sans réfléchir et qui
Notre responsabilité morale n’est pas d’arrêter le futur mais de le façonner… acheminer notre destin dans une direction humaine et atténuer le trauma de la transition.
Apprendre, c’est prendre du temps pour en gagner.
Tu ne contrôles pas les choses qui arrivent, pire, tu n’es même pas capable de savoir si elles sont bonnes ou mauvaises. Tu es là, tu attends une chose, tu la désires de toutes tes forces. Elle se produit enfin et, juste après, tu te rends compte que ta vie est gâchée. Ou le contraire.
Le ciel te tombe sur la tête et après un peu de temps tu te rends compte que c’est la meilleure chose qui pouvait t’arriver. Crois-moi, la seule chose que tu peux contrôler c’est ta façon d’interpréter les événements. Si tu pars de l’idée que ce ne sont pas les choses, mais le jugement que nous portons sur elles qui nous fait souffrir, alors tu peux aspirer à prendre le contrôle de ta vie. Sinon tu es condamné à tirer sur des mouches avec un canon.
Puisque nous sommes soldats, il ne faut pas nous envoyer à la bataille en imaginant que nous pourrions ne pas avoir à combattre. Ou que nous pourrions ne combattre que modérément, avec la retenue qui sied à nos pudeurs de démocrates. Un soldat ne peut pas se lancer dans la terrible mêlée sans être happé par cette exigence, puissante, du déchaînement de la violence.
Il s’y confrontera avec toute son énergie, toute son intelligence, tout son courage. Avec tous les moyens disponibles également. Et qui doivent être rassemblés en qualité et en quantité suffisantes pour vaincre. À la guerre, la ratiocination et les calculs de rentabilité exposent au risque de l’impuissance et de la perte de tout crédit.
Quelles que soient la taille et la force de l’ennemi, le combat est un engagement extrême, individuel et collectif, auquel il ne faut se résoudre que si l’on est prêt à en assumer le coût.

