
Q149 | Comment mesurer l’impact d’ateliers de prospective ?
Dans un monde qui s’est beaucoup structuré sur le factuel durant ces dernières décennies, il reste souvent un parent pauvre, qui est l’humain. D’ailleurs, il

Q138 | Politique et prospective : comment penser le long terme en incertitude ?
Au-delà de la crise du Covid, le Conseil Fédéral est aujourd’hui confronté à des problématiques dont la complexité et la vitesse d’occurrence augmentent rapidement. Tensions

Q158 | Le IF Toolkit © : comment rendre le processus prospectif plus méthodique, résilient, créatif et donc plus efficace ?
La démarche se décline en trois étapes successives avec pour objectif final la mise en action des parties prenantes. La philosophie de cette démarche de

Q243 | Le métier de prospectiviste et ses évolutions
Beaucoup de personnes sont en français « prospectivistes », « futuristes »,« futurologistes » ou en anglais « foresight practicionners », « Horizon scanners »,

Q048 | Atelier d’écriture : les micro-dystopies – Comment réveiller les imaginaires ?
Comment réveiller les imaginaires ? En pratiquant l’art d’écrire des micro-dystopies ! C’est en tout cas la réponse que propose François Houste, l’auteur des Mikrodystopies.
Le big data reste toujours au niveau des corrélations, jamais des causalités, mais cette subtilité reste souvent ignorée du commun des mortels.
Nulle autre activité humaine que la guerre n’épouse le hasard aussi constamment et aussi complètement. Et avec le hasard, l’imprévisible et la chance viennent y prendre une place considérable.
Les deux opérations sont à pratiquer alternativement, parce qu’elles se complètent : soit, , en lui témoignant son assentiment, on conduit l’autre à « s’ouvrir » et, sortant de sa réserve, à exprimer complètement son sentiment ; soit, au contraire, on lui fait délibérément barrage pour que, face à ce « blocage », il laisse apparaître soudain son vrai sentiment – et quon puisse « conclure » sur la véracité de ce qu’il disait.
La première manoeuvre est exploratoire, l’autre de contrôle ; la première favorisant son expansion, fait apparaître ce que l’autre veut, la seconde, suscitant sa réaction, laisse transparaître ce qu’il prétendait cacher ; combinées ensemble, elles servent à « sonder » l’autre et à « jauger » : soit on va dans sons sens, pour que lui-même se laisse aller ; soit on va en sens contraire, pour que, se rebiffant, il donne à mesurer sa résistance. Car sa réticence et son silence aussi sont révélateurs. Dans un cas comme dans l’autre, qu’il « ouvre » ou « ferme » la bouche, qu’il se libère ou qu’on le réprime, l’autre est perçu, ou plutôt manié, comme un pur dispositif (à l’instar, est-il dit, des deux facteurs opposés et complémentaires, yin et yang, qui constituent tout réalité).
En enchevêtrant le ludique et le coercitif, le contrôle politique et la séduction égotique, le public et le privé, en invisibilisant et en hybridant les techniques de contrôle social et de surveillance, l’économie de la donnée permet de maintenir sous contrôle la majorité silencieuse, sans besoin d’actions directes lourdes sur le terrain.

Q258 | Comment réussir la prospective au sein de gouvernements ?
Cet article explore quelques obstacles rencontrés par les responsables de la prospective au sein de gouvernements et propose des solutions permettant d’améliorer l’intégration de la

Q257 | Naviguer entre signaux faibles et fiables grâce à l’otium et l’observation
Sur la notion de signal faible se posent tout de même deux questions assez logiques:
Un signal est faible par rapport à quoi ?
Méfions-nous des alliances qui oublient les causes qui leur ont donné naissance.
Et si la meilleure façon de se sentir vivre – hors monde enfin – n’éait pas l’efficacité, mais bien son contraire ?
Éduquer d’accord, vous me direz, mais à quoi ? À ce qui fait nos routines et nos quotidiens d’utilisateurs, déjà. À la manipulation de notre attention ensuite. À la prise de distance. Et interroger. Pour ouvrir les crânes, pour sortir des tunnels stimuli-réactions. Interroger tout ce que le numérique transforme en nous, sans cesse, et tout ce que ça traverse. Interroger la psychologie que ça mobilise, les rapports sociaux que ça forme, les enjeux philosophiques que ça soulève, et la politique qui en découle. Interroger ce que peut encore l’État, ce que peuvent encore défendre ou réguler le droit et les lois.

