
Q285 · Personnes, modèles, possibilités : La prospective sociétale en action
À une époque de transformation rapide, où les percées technologiques, les crises écologiques et les changements géopolitiques redéfinissent notre monde, le besoin d’une approche prospective

Q170 · Pourquoi et comment éveiller les jeunes, dès 5 ans, à penser leur futur ?
Eh bien, que les sceptiques se détrompent ! Les « petits » sont avant tout des curieux, des découvreurs ! Et si certains stéréotypes de

Q071 · Pourquoi utiliser la science-fiction en prospective ?
Il est parfois reproché aux scénarios prospectifs de se contenter de prolonger, voire, au mieux, d’accélérer et d’accentuer une ou plusieurs tendances bien connues et

Q060 · A quoi sert le design fiction ?
Quoi de plus pertinent que des experts en design fiction pour nous parler de ce sujet! Le Coup d’Après est un collectif de design fiction
Dans un monde de plus en plus complexe et où les risques prennent de plus en plus d’ampleur, il y aura dans les années à venir un lien étroit entre la maturité de la gestion intelligente des données d’une entreprise et sa performance financière ou extra-financière.
Il n’y a aucune raison pour qu’un individu ait un ordinateur à la maison.
Exister, c’est se jeter à l’eau, aller à la rencontre des autres et du monde, de ces obstacles que nous pouvons changer en opportunités à condition de changer de regard.
Le domaine du risque est celui des situations répétées à l’identique. C’est le domaine où prévaut une logique d’optimisation des moyens et des préexistences des buts. Le paradigme est celui de la décision comme choix parmi des options possibles, où l’on distingue la décision de la mise en oeuvre dans un environnement considéré comme largement exogène. C’est le domaine cartésien par excellence.
Le domaine de l’incertitude est celui des situations uniques et inédites. C’est le domaine où prévaut une logique de créativité et d’endogénéité des buts. Le paradigme est celui de la décision comme la construction créative d’un avenir désirable, où la décision et l’action fusionnent dans l’action créative.
Dans mes romans, j’appuie mes prétendues inventions sur une base de faits réels. J’utilise pour leur mise en œuvre des méthodes et des matériaux qui n’outrepassent pas les limites du savoir-faire et des connaissances contemporaines.

Q261 · Le pouvoir de façonner demain
La négociation est souvent perçue à tort comme une bataille de volonté, un concours de force où le gain d’une partie est la perte de

Q260 · Comment réimaginer le futur au quotidien ?
Parfois, les prises de conscience les plus profondes naissent des moments les plus simples, de ces gestes quotidiens que nous répétons sans réfléchir et qui
Pour agir il faut décider, pour décider il faut simplifier.
Accessoirement, cela remet à sa place le délire actuel sur le « risque existentiel » que les intelligences artificielles feraient courir à l’humanité. Ce ne sont pas les machines numériques, mais bien les organisations – à commencer par les entreprises – qui ont pris leur autonomie et qui semblent poursuivre leurs objectifs de croissance et de profit sans se préoccuper de ce qu’elles détruisent.
Le numérique – sous sa forme actuelle – est leur outil, pas l’inverse.
Comment rendre légitimes des approches qui ne correspondent pas aux critères de légitimité admis à un moment donné par la communauté savante ? […] Toute méthode d’analyse un peu nouvelle se heurte à un double-bind.
Soit elle s’apparentera à une démarche déjà homologuée pour désarmer les résistances, auquel cas elle gomme ce qu’elle a d’original pour «rentrer dans l’orchestre». Elle n’a plus lieu d’être.
Soit elle accentue son écart à la norme, auquel cas le milieu ambiant la rejette dans son bruit de fond. Et elle n’a pas d’être du tout. Si, en effet, les procédures qui peuvent un jour la constituer comme savoir étaient d’emblée homologables, c’est -à-dire conformes aux normes déjà reconnues, le problème «novation» ne se poserait pas.

