
Fiction
Ceci est le 7ème épisode de la première saison du Deftech Podcast. Il s’agit d’un

Défendre notre intégrité cognitive
Ceci est l’épisode 6 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast.

Remparts légaux
Ceci est l’épisode 5 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast.

Guerre cognitive
Ceci est l’épisode 4 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast.

Les machines qui lisent nos pensées
Ceci est l’épisode 3 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast.

La fracturation de l’attention
Ceci est l’épisode 2 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast.

Synthonésie
La synthonésie désigne une connaissance produite à la demande par une intelligence artificielle. Le savoir n’est plus un document

Datagogie
La datagogie consiste à s’appuyer sur l’analyse de données numériques pour personnaliser, optimiser et piloter les apprentissages.

Déconastrose
La déconastrose vient du fait que nous déléguons la gestion d’objets à des serveurs distants. Quand la connexion se

Q239 | 5 ans d’Atelier des Futurs : quel bilan et quel cap pour l’avenir ?
C’est le 1er janvier 2020 que paraissait sur le site laprospective.ch le premier billet ainsi que les pages des catégories principales (Pourquoi, Quoi, Comment). Depuis

Q284 | Pratiquer la polyphonie de visions pour nuancer et enrichir un futur
Parce qu’un futur n’est jamais univoque, le principe de « polyphonie de visions » aider à mettre en lumière les tensions et contradictions qui façonnent

Q273 | Le théâtre comme laboratoire des futurs possibles
Le théâtre apporte à la prospective une dimension expérientielle et émotionnelle unique qui transforme l’exercice de projection dans le futur en une expérience incarnée et

Q076 | Qu’attendre de la réalisation d’ateliers comme exercices de prospective technologique?
Une démarche de prospective est un exercice éminemment collectif. Dès lors, il est essentiel de créer des temps et des espaces propices à la réflexion

La vague artificielle #2
Et si la première fonction des vagues était simplement de rendre heureux ? Ce n’est pas Vincent Duvignac qui nous dira le contraire. Surfeur professionnel

#33 Peter Leyden | Getting ready for the Great Progression
Peter Leyden est entrepreneur, consultant et essayiste. Il a appris les ficelles du métier de prospectiviste en rejoignant le discret Global Business Network, sorte de

#11 Agathe Cagé | Réconcilier la société
Agathe Cagé est politiste, cofondatrice et présidente du cabinet de conseil Compass label.

#48 Bertrand Piccard | Faire confiance au présent
Bertrand Piccard est un psychiatre et explorateur suisse.
En 2003, il fonde la fondation Solar Impulse et se fixe comme objectif d’identifier le plus grand

#3 Isabelle Autissier | Cultiver une relation apaisée avec les écosystèmes
Isabelle Autissier est une navigatrice française, première femme à avoir accompli un tour du monde lors d’une compétition, en 1991. Installée à La Rochelle, elle

Blablabanc
Le blababanc est un banc destiné à discuter, à échanger, à écouter. Les personnes qui s’assoient sont ouvertes à la discussion. Elles consentent à vivre

Datagogie
La datagogie consiste à s’appuyer sur l’analyse de données numériques pour personnaliser, optimiser et piloter les apprentissages.

Le show et le froid
L’invention d’un nettoyeur de débris spatiaux permet au Liechtenstein de devenir une grande puissance spatiale. L’euphorie transforme le pays en centre financier galactique. Des accidents

De la guerre des fromages à l’harmonie des cultures
La montée des eaux force la Suisse à accueillir six millions de réfugiés nordiques. Après avoir créé des conflits, cette cohabitation forcée conduit la Suisse
Il n’a jamais été aussi peu coûteux de lancer une entreprise […]. Mais il n’a jamais été aussi coûteux de la maintenir en vie.
Il faut faire des recherches pour le plaisir de chercher, pour ce que la science offre de beau, en gardant à l’esprit qu’une découverte scientifique peut, comme le radium, servir l’humanité.
Un soldat combat toujours dans l’espoir de parvenir à la paix. Elle est son horizon ultime. Mais si le politique a décidé de l’engager dans l’atteinte d’un tel objectif, c’est pour qu’il s’y efforce en faisant son métier de « soldat de guerre ».
Dans l’ordre du vivant, ne pas s’adapter au changement est pathologique. À chaque fois que nous voulons apprendre plus vite, devenir plus performant, ou nous adapter à un nouvel environnement, nous avons besoin de feedback. Chacun de ces changements suit irrémédiablement un processus en quatre phases : l’orientation, la désorientation, la réorientation et l’intégration. Le feedback y a sa place à chacune de ces étapes et à chacune des transitions.
L’orientation, c’est le démarrage d’une intention, d’un projet ou d’une ambition. La désorientation, c’est la confrontation des idées avec la réalité. La réorientation, c’est l’enrichissement du projet de changement avec de nouvelles données. L’intégration, c’est la transformation de la vision en réalité. Les quatre stades de l’apprentissage […] suivent précisément ce modèle.
Être désorienté est une bonne nouvelle : cela signifie que nous sommes en mouvement.
La vraie clé de tout changement est la capacité à passer le plus efficacement possible de la phase de désorientation à la phase de réorientation, puis à persévérer.

Q305 | Comment habiter le futur à l’heure des temporalités plurielles ?
L’Europe planifie, le Vietnam s’adapte. Deux régimes du temps, deux manières d’inventer le futur. Entre mémoire et mouvement, le Vietnam incarne une innovation singulière :

Q304 | Jouer le futur nous aide-t-il à mieux anticiper le futur ?
Imaginons que nous passions de nombreuses heures dans les jeux vidéo et que nous apprécions particulièrement les univers futuristes tels que ceux déployés par Cyberpunk

Synthonésie
La synthonésie désigne une connaissance produite à la demande par une intelligence artificielle. Le savoir n’est plus un document que l’on stocke et consulte. Il

Datagogie
La datagogie consiste à s’appuyer sur l’analyse de données numériques pour personnaliser, optimiser et piloter les apprentissages.
Un bon ordre ne contient que ce que chacun ne peut décider par lui-même.
Le design fiction se déploie dans l’espace entre l’arrogance de la science factuelle et l’imaginaire sérieusement ludique de la science-fiction, faisant des choses qui sont à la fois vraies et fausses, tout en étant conscient de l’ironie de la confusion – et la revendiquant même comme un avantage. C’est une pratique de design, tout d’abord, parce qu’elle ne fait pas autorité, elle n’a aucun intérêt à définir une vérité canonique. Elle peut travailler confortablement avec le vernaculaire et le pragmatique et parce qu’elle a dans son vocabulaire le mot “personne” – et non “utilisateurs” – avec tout ce que cela implique. Finalement, parce qu’elle peut fonctionner avec esprit, embrasser les situations paradoxales et adopter une position critique. Elle ne présume rien sur l’avenir, si ce n’est qu’il peut y avoir des avenirs simultanés et multiples et même une fin à tout.
Le savoir est un bien non-excluable, non rival, et cumulatif. Non-excluable signifie qu’il est difficile de le rendre exclusif et de le protéger éternellement. Exclure un tiers de son usage est coûteux et temporaire. Non rival veut dire qu’il ne se détruit pas à l’usage. Nous pouvons utiliser une connaissance des milliers de fois sans qu’il n’en coûte, et des milliers de personnes peuvent l’utiliser sans que personne n’en soit privé. Cumulatif, enfin, envoie à l’idée que toute connaissance peut produire de nouvelles connaissances, elles-mêmes non rivales et non-excluables. Le savoir est un bien de production et non un bien de consommation. L’économie de la connaissance est au service de l’économie de la vie.

